Tiassalé, 30 mai (AIP) – Le chargé d'études à la Direction de la mutualité et des œuvres sociales en milieu scolaire (DMOSS) du ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et la Formation professionnelle (MENETFP), Augustin Amoakon Koffi, a sollicité, mardi, à Tiassalé, la contribution des parents d’élèves dans la lutte contre les grossesses en milieu scolaire.
M. Amoakon s’exprimait à l’occasion d’une conférence publique sur le phénomène, à l’initiative de l’ONG Ecole sans sida en Côte d’Ivoire (ECOSS-CI).
Pour l’émissaire de la DMOSS, cet apport des parents à la politique de lutte contre ce fléau consiste en un certain nombre d’actions. Il s’agit notamment de veiller à ce que les filles soient logées dans des studios différents de ceux des garçons, de contrôler les contenus des fichiers des téléphones portables des enfants, et des programmes télévisés diffusés à la maison, a-t-il conseillé.
Les statistiques montrent que sur 20.795 cas de grossesse enregistrés depuis 2012, 43 % sont le fait de lycéens, collégiens ou étudiants occupant les mêmes locaux que les filles, a révélé M. Amoakon Augustin. Il a aussi exhorté les parents à satisfaire les besoins de leurs filles, vu que 54% des grossesses relèvent des gens de petits métiers prétextant les soutenir financièrement.
(AIP)
kd/ra/tad/fmo
M. Amoakon s’exprimait à l’occasion d’une conférence publique sur le phénomène, à l’initiative de l’ONG Ecole sans sida en Côte d’Ivoire (ECOSS-CI).
Pour l’émissaire de la DMOSS, cet apport des parents à la politique de lutte contre ce fléau consiste en un certain nombre d’actions. Il s’agit notamment de veiller à ce que les filles soient logées dans des studios différents de ceux des garçons, de contrôler les contenus des fichiers des téléphones portables des enfants, et des programmes télévisés diffusés à la maison, a-t-il conseillé.
Les statistiques montrent que sur 20.795 cas de grossesse enregistrés depuis 2012, 43 % sont le fait de lycéens, collégiens ou étudiants occupant les mêmes locaux que les filles, a révélé M. Amoakon Augustin. Il a aussi exhorté les parents à satisfaire les besoins de leurs filles, vu que 54% des grossesses relèvent des gens de petits métiers prétextant les soutenir financièrement.
(AIP)
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