Niakara, 15 juin (AIP) - Des producteurs du département de Niakara (région du Hambol), plaidant auprès du Gouvernement pour une solution, ont dénoncé la raréfaction des achats malgré l’existence de centaines de tonnes de noix de cajou, a constaté l’AIP.
De nombreux et gros producteurs d’anacarde du département de Niakara refusant de vendre leurs récoltes au rabais, entre 200 et 250 FCFA, ont souhaité que le Gouvernement "prennent le taureau par les cornes en vue de sauver du naufrage" la campagne de commercialisation de la noix de cajou 2018.
"La quasi-totalité des pisteurs ont arrêté les achats pour défaut de liquidité, quelques uns procédant à des négociations pour l’achat au rabais, mais notre village dispose d’au moins 50 tonnes de cajou stockées dans les maisons", a indiqué Kpanhiri Coulibaly, agriculteur à Badiokaha, village au Nord de la ville de Niakara précisant détenir, à lui seul, un stock de 15 tonnes.
Des centaines de tonnes d’anacarde, selon des producteurs de la circonscription administrative de Niakara, demeurent encore disponibles.
(AIP)
jbm/kkf/kam
De nombreux et gros producteurs d’anacarde du département de Niakara refusant de vendre leurs récoltes au rabais, entre 200 et 250 FCFA, ont souhaité que le Gouvernement "prennent le taureau par les cornes en vue de sauver du naufrage" la campagne de commercialisation de la noix de cajou 2018.
"La quasi-totalité des pisteurs ont arrêté les achats pour défaut de liquidité, quelques uns procédant à des négociations pour l’achat au rabais, mais notre village dispose d’au moins 50 tonnes de cajou stockées dans les maisons", a indiqué Kpanhiri Coulibaly, agriculteur à Badiokaha, village au Nord de la ville de Niakara précisant détenir, à lui seul, un stock de 15 tonnes.
Des centaines de tonnes d’anacarde, selon des producteurs de la circonscription administrative de Niakara, demeurent encore disponibles.
(AIP)
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