Des victimes de la crue du fleuve Bia à Aboisso, 116 km à l’Est d’Abidjan se remettent difficilement du sinistre. Ce, malgré l’assistance apportée par le ministère ivoirien de la Solidarité.
Assiahue Laurent Adjei, boulanger artisanal, n’en revient toujours pas. A son réveil le samedi 14 juillet 2018, il fait un constat amer. L’eau a emporté la farine qu’il a achetée la veille. Son four qui lui permet de cuire le pain sucré qu’il livre est aussi endommagé.
« Les dégâts sont énormes. Je suis un diplômé sans emploi .Mon four qui me permet de faire du pain pour vendre a été détruit par la Bia. Depuis des jours, je ne peux pas travailler. Or c’est de cela que je vis », est-il désarçonné quand il se confie à Pôleafrique.info ce lundi 16 juillet... suite de l'article sur Pôle Afrique
Assiahue Laurent Adjei, boulanger artisanal, n’en revient toujours pas. A son réveil le samedi 14 juillet 2018, il fait un constat amer. L’eau a emporté la farine qu’il a achetée la veille. Son four qui lui permet de cuire le pain sucré qu’il livre est aussi endommagé.
« Les dégâts sont énormes. Je suis un diplômé sans emploi .Mon four qui me permet de faire du pain pour vendre a été détruit par la Bia. Depuis des jours, je ne peux pas travailler. Or c’est de cela que je vis », est-il désarçonné quand il se confie à Pôleafrique.info ce lundi 16 juillet... suite de l'article sur Pôle Afrique