Katiola - Le Projet d’appui à la production agricole et à la commercialisation (PROPACOM) a dressé un bilan de ses activités qu’il juge satisfaisant, au terme de d’atelier de présentation des résultats du programme à Katiola.
Selon la coordonnatrice du PROPACOM, Goulivas Callé Aude, qui s’exprimait à cette occasion vendredi, en présence du corps préfectoral et des autorités administratives des zones concernées par le projet (Gbêkè, Hambol, Gontougo, Boukani , le Poro, le Tchologo et la Bagoué), le projet a coûté plus de 13 milliards Fcfa.
Pour l’accès aux facteurs de production, 271,44 tonnes de semences de R1 certifiées de riz irrigué, 95,1 tonnes de maïs (semences certifiées) au niveau de la mécanisation agricole, 66 motoculteurs, 20 batteuses et 132.100 sacs de collecte ont été distribué aux paysans.
Au niveau de l’appui–conseil, 8127 personnes ont reçus des semences, 1289 hectares de superficies ont été aménagées ou réhabilitées et 3316 producteurs formés.
Cinquante-huit pour cent des pistes ont été aménagées, un centre de groupage et 1851 sur 2000 ex-combattants installés.
Par ailleurs, elle a précisé que ce projet a connu quelques difficultés, notamment l’instabilité du personnel, la clôture anticipée des 3 antennes, le manque de performances des prestataires, le faible niveau de maturité des Organisations professionnelles agricoles (OPA) et la procédure de passation des marchés et de paiement entraînant un impact négatif sur le niveau d’exécution du projet.
Les participants ont recommandé l’implication du corps préfectoral et les autorités administratives, de tirer les leçons apprises pour les projets futurs, d’engager une réflexion sur la passation des marchés, de mettre à disposition des ressources humaines compétentes et de qualité, et d’approfondir une réflexion sur la maturité des OPA.
Le PROPACOM a été mis en place en vue d’améliorer durablement la sécurité alimentaire et le revenu des populations des zones du projet à travers l’accès des petits producteurs à des services de production efficaces, à des technologies appropriées et aux marchés.
dg/bsp/tm/cmas
Selon la coordonnatrice du PROPACOM, Goulivas Callé Aude, qui s’exprimait à cette occasion vendredi, en présence du corps préfectoral et des autorités administratives des zones concernées par le projet (Gbêkè, Hambol, Gontougo, Boukani , le Poro, le Tchologo et la Bagoué), le projet a coûté plus de 13 milliards Fcfa.
Pour l’accès aux facteurs de production, 271,44 tonnes de semences de R1 certifiées de riz irrigué, 95,1 tonnes de maïs (semences certifiées) au niveau de la mécanisation agricole, 66 motoculteurs, 20 batteuses et 132.100 sacs de collecte ont été distribué aux paysans.
Au niveau de l’appui–conseil, 8127 personnes ont reçus des semences, 1289 hectares de superficies ont été aménagées ou réhabilitées et 3316 producteurs formés.
Cinquante-huit pour cent des pistes ont été aménagées, un centre de groupage et 1851 sur 2000 ex-combattants installés.
Par ailleurs, elle a précisé que ce projet a connu quelques difficultés, notamment l’instabilité du personnel, la clôture anticipée des 3 antennes, le manque de performances des prestataires, le faible niveau de maturité des Organisations professionnelles agricoles (OPA) et la procédure de passation des marchés et de paiement entraînant un impact négatif sur le niveau d’exécution du projet.
Les participants ont recommandé l’implication du corps préfectoral et les autorités administratives, de tirer les leçons apprises pour les projets futurs, d’engager une réflexion sur la passation des marchés, de mettre à disposition des ressources humaines compétentes et de qualité, et d’approfondir une réflexion sur la maturité des OPA.
Le PROPACOM a été mis en place en vue d’améliorer durablement la sécurité alimentaire et le revenu des populations des zones du projet à travers l’accès des petits producteurs à des services de production efficaces, à des technologies appropriées et aux marchés.
dg/bsp/tm/cmas
