Bouna- La terre est aujourd'hui l'une des principales causes de conflits tant en Côte d'Ivoire que dans le monde, a fait savoir lundi, à Bouna, le directeur général de l'Agence foncière rurale (AFOR), Bamba Cheick Daniel, au cours d'une mission d'apport des appuis au fonctionnement des comités villageoises de gestion foncière rurale des régions du Bounkani et du Gontougo.
Le ministre et préfet hors hiérarchie a lancé cette adresse au foyer des jeunes de la ville, en présence du ministre du Plan et du Développement, Nialé Kaba, du corps préfectoral, élus et cadres de la région ainsi que le chefs de villages venus s'imprégner des questions foncières.
''L'actualité ivoirienne est fournie en conflits fonciers qui vont même au bafouement de l'autorité de l'Etat, avec des sous-préfet et préfets fréquemment molestés. Quand la terre devient rare, chère, difficile à obtenir, le conflit naît. Les grandes guerres que nous connaissons de par le monde qui ont ensanglanté les continents tels que l'Europe l'Amérique proviennent de la recherche d'espace vital'', a-t-il souligné.
Il a invité le corps préfectoral du Bounkani et les chefs de villages à s'impliquer davantage dans la vision de la loi de 1998 portant sur le foncier rural et qui s'inscrit également dans la cohésion sociale.
''Ce n'est plus un projet, un programme à regarder avec distance", a indiqué Cheick Bamba Daniel.
on/fmo
Le ministre et préfet hors hiérarchie a lancé cette adresse au foyer des jeunes de la ville, en présence du ministre du Plan et du Développement, Nialé Kaba, du corps préfectoral, élus et cadres de la région ainsi que le chefs de villages venus s'imprégner des questions foncières.
''L'actualité ivoirienne est fournie en conflits fonciers qui vont même au bafouement de l'autorité de l'Etat, avec des sous-préfet et préfets fréquemment molestés. Quand la terre devient rare, chère, difficile à obtenir, le conflit naît. Les grandes guerres que nous connaissons de par le monde qui ont ensanglanté les continents tels que l'Europe l'Amérique proviennent de la recherche d'espace vital'', a-t-il souligné.
Il a invité le corps préfectoral du Bounkani et les chefs de villages à s'impliquer davantage dans la vision de la loi de 1998 portant sur le foncier rural et qui s'inscrit également dans la cohésion sociale.
''Ce n'est plus un projet, un programme à regarder avec distance", a indiqué Cheick Bamba Daniel.
on/fmo
