Dimbokro - Si le maire sortant, Bilé Diéméléou Amon Gabriel a été désigné, sans accroc, par le parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) comme son porte-étendard aux prochaines élections municipales de 2018, à Dimbokro, il n’en demeure pas moins que la bataille pour conserver le fauteuil sera rude en raison de la présence dans la course de deux poids lourds de la politique locale à savoir Koffi Eugène qui va briguer le fauteuil municipal sous la bannière du Rassemblement des républicains (RDR) et l’indépendant Jean Bonin Kouassi, a constaté l’AIP dans la capitale régionale du N’zi.
Auréolé du titre de maire de la commune ayant obtenu le prix d’excellence national 2018 de la commune la plus propre de Côte d’Ivoire, Bilé Diéméléou qui a reçu ce trophée des mains du chef de l’Etat, le 6 août, et son équipe municipal croient dur comme fer que les populations de Dimbokro lui renouvelleront leur confiance pour un second mandat le 13 octobre surtout qu’il sera tête de liste du PDCI dans une zone jugée« le bastion naturel de ce parti ».
« Depuis l’avènement de Bilé Diéméléou, Dimbokro est en train d’aller de l’avant. C’est une chance. Voilà un monsieur qui ne parle pas au hasard. quand il dit, il fait. Nous souhaitons qu’au soir du 13 octobre que les populations le vote massivement afin qu’il continue ses réalisations », a souhaité un membre de son cabinet, invitant à plus de discernement dans le choix des dirigeants. Il a relevé les nombreux chantiers réalisés ou en cours de réalisations notamment l’hôpital de Kolibo, la maternité de Commikro, la réhabilitation et la construction de la mairie, des écoles, des latrines et les actions sociales en faveur des femmes, des élèves et des jeunes de la commune.
Le porte-flambeau du Rassemblement des républicains (RDR), Koffi Eugène qui va certainement bénéficier du soutien du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) ne compte pas lâcher un pouce au maire sortant. Lui et ses affidés estiment qu’il est temps que les choses changent dans la ville de Dimbokro. « Cette année est la bonne. Nous allons prendre la mairie de Dimbokro le 13 octobre et montrer de quoi nous sommes capables. Il faut que les choses changent », a affirmé un cadre local du RDR, proche du candidat.
Selon ce dernier, l’homme, de façon discrète, pose des actes dans les quartiers et villages de la commune. Il a souligné que Koffi Eugène, doté d’immense expertise en tant que chef d’entreprise, apportera un plus à la gestion de la mairie. Celui qui a financé sur « fonds propre » des projets de jeunes, il y a quelques semaines, fera du chômage des jeunes son cheval de bataille.
« Osons le changement, maintenant ! » , clame dans un prospectus programme Kouadio Jean Bonin. Candidat malheureux de 2001 à ces municipales, l’homme qui revient à la charge en 2018 sans la caution d’aucun parti politique, a des idées et des ambitions. « Mon combat est de faire de Dimbokro une ville moderne dont le développement est tiré par une zone industrielle », avance-t-il, relevant que le développement est son métier.
M. Jean Bonin qui estime que le problème majeur de Dimbokro est dans le chômage, compte créer près de 3000 emplois durant sa mandature pour le bonheur des jeunes et des femmes, tout égrenant ses réalisations dans la ville « sans être maire ».
En attendant ce scrutin, les équipes des candidats sont à pied d’œuvre pour obtenir les papiers afférents à la candidature des conseillers municipaux recommandés par la Commission électorale indépendante (CEI) notamment l’extrait de naissance, l’attestation de régularité fiscale, le casier judiciaire et le certificat de nationalité.
ik/fmo
Auréolé du titre de maire de la commune ayant obtenu le prix d’excellence national 2018 de la commune la plus propre de Côte d’Ivoire, Bilé Diéméléou qui a reçu ce trophée des mains du chef de l’Etat, le 6 août, et son équipe municipal croient dur comme fer que les populations de Dimbokro lui renouvelleront leur confiance pour un second mandat le 13 octobre surtout qu’il sera tête de liste du PDCI dans une zone jugée« le bastion naturel de ce parti ».
« Depuis l’avènement de Bilé Diéméléou, Dimbokro est en train d’aller de l’avant. C’est une chance. Voilà un monsieur qui ne parle pas au hasard. quand il dit, il fait. Nous souhaitons qu’au soir du 13 octobre que les populations le vote massivement afin qu’il continue ses réalisations », a souhaité un membre de son cabinet, invitant à plus de discernement dans le choix des dirigeants. Il a relevé les nombreux chantiers réalisés ou en cours de réalisations notamment l’hôpital de Kolibo, la maternité de Commikro, la réhabilitation et la construction de la mairie, des écoles, des latrines et les actions sociales en faveur des femmes, des élèves et des jeunes de la commune.
Le porte-flambeau du Rassemblement des républicains (RDR), Koffi Eugène qui va certainement bénéficier du soutien du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) ne compte pas lâcher un pouce au maire sortant. Lui et ses affidés estiment qu’il est temps que les choses changent dans la ville de Dimbokro. « Cette année est la bonne. Nous allons prendre la mairie de Dimbokro le 13 octobre et montrer de quoi nous sommes capables. Il faut que les choses changent », a affirmé un cadre local du RDR, proche du candidat.
Selon ce dernier, l’homme, de façon discrète, pose des actes dans les quartiers et villages de la commune. Il a souligné que Koffi Eugène, doté d’immense expertise en tant que chef d’entreprise, apportera un plus à la gestion de la mairie. Celui qui a financé sur « fonds propre » des projets de jeunes, il y a quelques semaines, fera du chômage des jeunes son cheval de bataille.
« Osons le changement, maintenant ! » , clame dans un prospectus programme Kouadio Jean Bonin. Candidat malheureux de 2001 à ces municipales, l’homme qui revient à la charge en 2018 sans la caution d’aucun parti politique, a des idées et des ambitions. « Mon combat est de faire de Dimbokro une ville moderne dont le développement est tiré par une zone industrielle », avance-t-il, relevant que le développement est son métier.
M. Jean Bonin qui estime que le problème majeur de Dimbokro est dans le chômage, compte créer près de 3000 emplois durant sa mandature pour le bonheur des jeunes et des femmes, tout égrenant ses réalisations dans la ville « sans être maire ».
En attendant ce scrutin, les équipes des candidats sont à pied d’œuvre pour obtenir les papiers afférents à la candidature des conseillers municipaux recommandés par la Commission électorale indépendante (CEI) notamment l’extrait de naissance, l’attestation de régularité fiscale, le casier judiciaire et le certificat de nationalité.
ik/fmo
