L’intégration de la communauté Bété est une réalité à Dimbokro, a estimé le président de l’Union des Bété résidents à Dimbokro (RBD), Zadi Séri Faucace, invitant les membres de son organisation à préserver cet acquis, gage selon lui, de paix et de cohésion sociale.
« L’intégration des Bété est réelle et réussie à Dimbokro», a déclaré Zadi Séri Faucace, samedi, lors de la sortie officielle de l’URBD et sa branche féminine Awané, en présence des représentants des élus locaux et de plusieurs chefs de communautés. Il a appelé au renforcement du pardon et du dialogue intercommunautaire et a exhorté les groupements ethniques vivant dans la localité à s’inscrire résolument dans ce processus, faisant observer la force de l’union dans la survie des peuples.
Le chef Zadi Faucace, acteur principal de la mise en place de l’organisation des chefs traditionnels dans la capitale du N’zi, a salué ce brassage communautaire qui ne souffre, selon lui, d’aucune incompatibilité avec une quelconque préservation de l’identité culturelle. « Nos organisations, l’URBD et Awané, sont ouvertes à tous. La preuve, nous avons l’adhésion des chefs Wê et Gagou », a-t-il ajouté, relevant que la force des liens réside dans le respect mutuellement.
L’URBD et Awané, organisations apolitiques créées en 2009, revendiquent plus d’une centaine de membres. Elles ont pour objet entre autres l’entraide, le partage et la consolidation des liens fraternels.
(AIP)
ik/fmo
« L’intégration des Bété est réelle et réussie à Dimbokro», a déclaré Zadi Séri Faucace, samedi, lors de la sortie officielle de l’URBD et sa branche féminine Awané, en présence des représentants des élus locaux et de plusieurs chefs de communautés. Il a appelé au renforcement du pardon et du dialogue intercommunautaire et a exhorté les groupements ethniques vivant dans la localité à s’inscrire résolument dans ce processus, faisant observer la force de l’union dans la survie des peuples.
Le chef Zadi Faucace, acteur principal de la mise en place de l’organisation des chefs traditionnels dans la capitale du N’zi, a salué ce brassage communautaire qui ne souffre, selon lui, d’aucune incompatibilité avec une quelconque préservation de l’identité culturelle. « Nos organisations, l’URBD et Awané, sont ouvertes à tous. La preuve, nous avons l’adhésion des chefs Wê et Gagou », a-t-il ajouté, relevant que la force des liens réside dans le respect mutuellement.
L’URBD et Awané, organisations apolitiques créées en 2009, revendiquent plus d’une centaine de membres. Elles ont pour objet entre autres l’entraide, le partage et la consolidation des liens fraternels.
(AIP)
ik/fmo
