Yamoussoukro - Les résultats de la réforme des enseignements et de la formation des élèves-maîtres dans les centres d’animation et de formation pédagogique (CAFOP) ont été définitivement validés et intégrés samedi par les acteurs de l’éducation nationale après six journées de réflexion à Yamoussoukro.
Six CAFOP dont ceux d’Abengourou, de Gagnoa et de Bondoukou, ainsi que les CAFOP de Dabou, de Grand-Bassam et de Yamoussoukro (ces trois derniers déjà en expérimentation depuis 2017) ont été choisis pour la phase pilote de la réforme des enseignements et de la formation des élèves-maîtres.
La nouvelle réforme prend en compte les élèves-maîtres admis au concours 2017-2018. La formation dure trois ans, une année théorique et deux ans sur le terrain. La 3è année est celle de la titularisation.
Selon les acteurs de l’éducation nationale, l’expérience a montré des insuffisances et des dysfonctionnements avec des résultats en-deçà des attentes. Les professeurs n’ont pas toujours travaillé dans le sens modulaire. Au niveau de la gouvernance, les responsables n’ont pas respecté les procédures de dépenses, de décaissements et gestion, a-t-on relevé.
"Nous venons de corriger tout cela par l’élaboration de procédure qui ont manqué", a promis l’inspecteur général Allah Yao, représentant le superviseur de la réforme. Il a souligné que la formation au CAFOP, dans sa formule ancienne, n’était qu’une des connaissances générales.
"Aujourd’hui, il s’agit, par cette nouvelle approche pédagogique, de la pratique du métier et la gestion des hommes. Par cette réforme, de donner les outils aux enseignants pour une maîtrise de leur art et de leur métier", a expliqué l’inspecteur général.
Il a salué le travail réalisé et invité les acteurs du système éducatif ivoirien à montrer aux yeux du monde que la Côte d’Ivoire a des valeurs et à "veiller à ce qu’elle (la réforme) porte des effets positifs que nous escomptons".
L’atelier d’intégration des résultats de la réforme s’inscrit dans le cadre du programme d’amélioration de la qualité de l’éducation et de l’enseignement. Il vise à réinstaller le système éducatif dans ses fondamentaux et à assurer les bases solides de son développement dans la durée.
nam/kp
Six CAFOP dont ceux d’Abengourou, de Gagnoa et de Bondoukou, ainsi que les CAFOP de Dabou, de Grand-Bassam et de Yamoussoukro (ces trois derniers déjà en expérimentation depuis 2017) ont été choisis pour la phase pilote de la réforme des enseignements et de la formation des élèves-maîtres.
La nouvelle réforme prend en compte les élèves-maîtres admis au concours 2017-2018. La formation dure trois ans, une année théorique et deux ans sur le terrain. La 3è année est celle de la titularisation.
Selon les acteurs de l’éducation nationale, l’expérience a montré des insuffisances et des dysfonctionnements avec des résultats en-deçà des attentes. Les professeurs n’ont pas toujours travaillé dans le sens modulaire. Au niveau de la gouvernance, les responsables n’ont pas respecté les procédures de dépenses, de décaissements et gestion, a-t-on relevé.
"Nous venons de corriger tout cela par l’élaboration de procédure qui ont manqué", a promis l’inspecteur général Allah Yao, représentant le superviseur de la réforme. Il a souligné que la formation au CAFOP, dans sa formule ancienne, n’était qu’une des connaissances générales.
"Aujourd’hui, il s’agit, par cette nouvelle approche pédagogique, de la pratique du métier et la gestion des hommes. Par cette réforme, de donner les outils aux enseignants pour une maîtrise de leur art et de leur métier", a expliqué l’inspecteur général.
Il a salué le travail réalisé et invité les acteurs du système éducatif ivoirien à montrer aux yeux du monde que la Côte d’Ivoire a des valeurs et à "veiller à ce qu’elle (la réforme) porte des effets positifs que nous escomptons".
L’atelier d’intégration des résultats de la réforme s’inscrit dans le cadre du programme d’amélioration de la qualité de l’éducation et de l’enseignement. Il vise à réinstaller le système éducatif dans ses fondamentaux et à assurer les bases solides de son développement dans la durée.
nam/kp
