L’Observatoire de la solidarité et de la cohésion sociale (OSCS) organise depuis mercredi, à Dabou, un atelier de validation du diagnostic et des orientations stratégiques de la stratégie nationale d’alerte précoce et de réponses rapides impliquant les femmes.
Cet atelier de trois jours bénéficie de l’appui financier et du soutien technique d’ONU Femmes. Il s’inscrit dans le cadre de l’élaboration d’une stratégie nationale d’alerte précoce et de réponse rapide impliquant les femmes.
Selon le directeur de l’OSCS, Ibrahim Coulibaly Tiozon, l’implication de la gent féminine dans la gestion des alertes précoces et l’élaboration de la stratégie nationale se justifie par le fait que les femmes sont « plus attentionnées, plus sensibles et plus alertes ».
Plus d’une trentaine de participants issus de structures étatiques centrales et locales, des agences du système des nations unies telles que UNFPA, PNUD, ONU femmes, des ONG internationales (WANEP, CARE, CARITAS,) et des associations de femmes prennent part à cet atelier qui refermera ses portes vendredi.
(AIP)
Cet atelier de trois jours bénéficie de l’appui financier et du soutien technique d’ONU Femmes. Il s’inscrit dans le cadre de l’élaboration d’une stratégie nationale d’alerte précoce et de réponse rapide impliquant les femmes.
Selon le directeur de l’OSCS, Ibrahim Coulibaly Tiozon, l’implication de la gent féminine dans la gestion des alertes précoces et l’élaboration de la stratégie nationale se justifie par le fait que les femmes sont « plus attentionnées, plus sensibles et plus alertes ».
Plus d’une trentaine de participants issus de structures étatiques centrales et locales, des agences du système des nations unies telles que UNFPA, PNUD, ONU femmes, des ONG internationales (WANEP, CARE, CARITAS,) et des associations de femmes prennent part à cet atelier qui refermera ses portes vendredi.
(AIP)
