Abidjan - Des organisations de la société civile dont CIVIS-CI ont exhorté, vendredi, les ivoiriens au « Vote utile », lors d’un panel organisé à la faveur des élections municipales et les régionales du 13 octobre.
Pour le président du CIVIS-Côte d’Ivoire, Dr Kouamé Christophe, initiateur de cette rencontre d’échanges, le « Vote utile » est l’acte citoyen qui consiste à donner sa voix à un candidat disposant du meilleur profil, d’un programme de société répondant aux attentes des populations et conformément aux missions édictées par son futur poste.
Il consiste également à donner sa voix à un candidat non cumulard dont le conseil décrit l’aspect représentatif des quartiers et sous-quartiers de la ville ou de la localité, a-t-il poursuivi.
« Non aux cumuls et incompatibilité des mandats », a martelé Dr Kouamé, précisant que le cumul des fonctions et des mandats jettent le discrédit sur l’action politique et induit la confusion des rôles.
S’exprimant sur le thème, « développement local et élections régionales et municipales : le vote utile », Kouamé Christophe a également expliqué que le développement local est un processus participant au façonnement de son propre environnement dans le but d’améliorer la qualité de vie des résidents.
Plusieurs autres communications ont permis d’appréhender les objectifs de la décentralisation, le rôle et les missions de développement local assignés aux collectivités locales et les droits socio-économiques dans les régions et communes.
Plusieurs organisations sœurs de la société civile notamment le mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), les jeunes leaders du PYPA, la coalition « ça suffit » ont pris part à cette rencontre d’échanges qui s’est déroulés à l’Institut français au Plateau.
(AIP)
bsb/fmo
Pour le président du CIVIS-Côte d’Ivoire, Dr Kouamé Christophe, initiateur de cette rencontre d’échanges, le « Vote utile » est l’acte citoyen qui consiste à donner sa voix à un candidat disposant du meilleur profil, d’un programme de société répondant aux attentes des populations et conformément aux missions édictées par son futur poste.
Il consiste également à donner sa voix à un candidat non cumulard dont le conseil décrit l’aspect représentatif des quartiers et sous-quartiers de la ville ou de la localité, a-t-il poursuivi.
« Non aux cumuls et incompatibilité des mandats », a martelé Dr Kouamé, précisant que le cumul des fonctions et des mandats jettent le discrédit sur l’action politique et induit la confusion des rôles.
S’exprimant sur le thème, « développement local et élections régionales et municipales : le vote utile », Kouamé Christophe a également expliqué que le développement local est un processus participant au façonnement de son propre environnement dans le but d’améliorer la qualité de vie des résidents.
Plusieurs autres communications ont permis d’appréhender les objectifs de la décentralisation, le rôle et les missions de développement local assignés aux collectivités locales et les droits socio-économiques dans les régions et communes.
Plusieurs organisations sœurs de la société civile notamment le mouvement ivoirien des droits humains (MIDH), les jeunes leaders du PYPA, la coalition « ça suffit » ont pris part à cette rencontre d’échanges qui s’est déroulés à l’Institut français au Plateau.
(AIP)
bsb/fmo
