Niakara - Pangalakaha, village se résumant, il y a cinq ans , à quelques cases et huttes de fortune dans la sous-préfecture de Badikaha (Niakara, région du Hambol), connaît aujourd'hui un développement fulgurant , avec la réalisation de plusieurs infrastructures.
Grâce à la synergie et à l'osmose avec la SUCAF-C, société sucrière occupant ses terres depuis 1973, la localité de Pangalakaha dispose aujourd'hui d'une école primaire publique (EPP) dotée d'un bloc de huit latrines et d'une vaste cantine scolaire digne d'un réfectoire.
Elle compte également à son actif, une pompe hydraulique, une électrification rurale, des lotissements offerts ou parfois soutenus entre 2015 et 2018 par ladite entreprise.
À ces nombreuses réalisations sociales s'ajoutent un collège de proximité, en cours d’achèvement, qui pourrait ouvrir cette année scolaire 2018-2019, et plusieurs logements décents qui sortent de terre.
"Grâce à la SUCAF-CI, l'émergence se constate et se vit à Pangalakaha , elle est loin d'être un slogan , un idéal", a martelé Fanta Pingué , une habitante.
En 2015, Pangalakaha se résumait à quelques cases rustiques et une cabane agreste faisant office d'école primaire publique (EPP). Malgré la cession des terres à l'implémentation en faveur de la SUCAF-CI. Exaspérés les habitants sous la couverture des chefs traditionnels de Tafiré et Badikaha ont de mettre la pression, empêchant les responsables de la société de sucrière d’avoir accès aux installations et bureaux, a rappelé Hervé Yéo Kidou.
jbm/raz/bsb/kam
Grâce à la synergie et à l'osmose avec la SUCAF-C, société sucrière occupant ses terres depuis 1973, la localité de Pangalakaha dispose aujourd'hui d'une école primaire publique (EPP) dotée d'un bloc de huit latrines et d'une vaste cantine scolaire digne d'un réfectoire.
Elle compte également à son actif, une pompe hydraulique, une électrification rurale, des lotissements offerts ou parfois soutenus entre 2015 et 2018 par ladite entreprise.
À ces nombreuses réalisations sociales s'ajoutent un collège de proximité, en cours d’achèvement, qui pourrait ouvrir cette année scolaire 2018-2019, et plusieurs logements décents qui sortent de terre.
"Grâce à la SUCAF-CI, l'émergence se constate et se vit à Pangalakaha , elle est loin d'être un slogan , un idéal", a martelé Fanta Pingué , une habitante.
En 2015, Pangalakaha se résumait à quelques cases rustiques et une cabane agreste faisant office d'école primaire publique (EPP). Malgré la cession des terres à l'implémentation en faveur de la SUCAF-CI. Exaspérés les habitants sous la couverture des chefs traditionnels de Tafiré et Badikaha ont de mettre la pression, empêchant les responsables de la société de sucrière d’avoir accès aux installations et bureaux, a rappelé Hervé Yéo Kidou.
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