Bouaké - Le maire Djibo Youssouf Nicolas a affiché une satisfaction relative sur le bilan quinquennal de sa gestion de la commune de Bouaké et affirmé, samedi, devant la presse, qu’il peut mieux faire si l’environnement socio-sécuritaire devient plus propice.
«Moi-même je suis un juge très sévère de mon action. Donc je dirai correcte mais peut mieux faire. Peut mieux faire si l’environnement devient un environnement apaisé de manière à ce que les populations, les entrepreneurs puissent vaquer à leurs occupations sans être troublés par différentes manifestations intempestives.», a déclaré M. Djibo Nicolas sur le plateau de la tribune débat de l’UNAJCOPCI.
Il juge positif son propre bilan, mais il affirme que certains grands projets n’ont pu être réalisés et que sa ville a perdu plusieurs opportunités surtout en matière de création d’emplois à cause des crises successives dont les manifestations contre la CIE en juillet 2016 et les mutineries de janvier et mai 2017 qui ont occasionné la fuite de certains investisseurs et des bailleurs.
«Nous n’avons pas pu créer des entreprises à cause du contexte de Bouaké. Bouaké faisait peur, Bouaké fait peur et je crois qu’il faut que nous arrêtons de donner cette image de Bouaké, pour que les investisseurs viennent», a-t-il indiqué.
A l’en croire, les crises mutineries ont fait perdre 18 mois à la maire Bouaké. Ces 18 mois, estime-il, pouvaient servir à faire des appels d’offre et démarrer des projets dans la ville.
M. Djibo Nicolas a fait le point des grandes réalisations de sa mandature depuis 2013, dans plusieurs domaines, notamment, les secteurs de la santé, l’éducation, la culture, l’économie et le volet social.
De ce bilan, l’on note, entre autres, plus de 200 millions FCFA investis dans la construction d’écoles, un financement acquis pour la reconstruction du grand marché et sa zone marchande, une maison des jeunes créée pour servir de plateforme d’identification des besoins et la réhabilitation des plateaux techniques de 10 structures sanitaires urbaines avec un financement de plus d’un milliards FCFA de l’Union Européenne.
«Moi-même je suis un juge très sévère de mon action. Donc je dirai correcte mais peut mieux faire. Peut mieux faire si l’environnement devient un environnement apaisé de manière à ce que les populations, les entrepreneurs puissent vaquer à leurs occupations sans être troublés par différentes manifestations intempestives.», a déclaré M. Djibo Nicolas sur le plateau de la tribune débat de l’UNAJCOPCI.
Il juge positif son propre bilan, mais il affirme que certains grands projets n’ont pu être réalisés et que sa ville a perdu plusieurs opportunités surtout en matière de création d’emplois à cause des crises successives dont les manifestations contre la CIE en juillet 2016 et les mutineries de janvier et mai 2017 qui ont occasionné la fuite de certains investisseurs et des bailleurs.
«Nous n’avons pas pu créer des entreprises à cause du contexte de Bouaké. Bouaké faisait peur, Bouaké fait peur et je crois qu’il faut que nous arrêtons de donner cette image de Bouaké, pour que les investisseurs viennent», a-t-il indiqué.
A l’en croire, les crises mutineries ont fait perdre 18 mois à la maire Bouaké. Ces 18 mois, estime-il, pouvaient servir à faire des appels d’offre et démarrer des projets dans la ville.
M. Djibo Nicolas a fait le point des grandes réalisations de sa mandature depuis 2013, dans plusieurs domaines, notamment, les secteurs de la santé, l’éducation, la culture, l’économie et le volet social.
De ce bilan, l’on note, entre autres, plus de 200 millions FCFA investis dans la construction d’écoles, un financement acquis pour la reconstruction du grand marché et sa zone marchande, une maison des jeunes créée pour servir de plateforme d’identification des besoins et la réhabilitation des plateaux techniques de 10 structures sanitaires urbaines avec un financement de plus d’un milliards FCFA de l’Union Européenne.
