Man- L’Association ivoirienne pour le bien-être familial (AIBEF) a organisé vendredi, une campagne de sensibilisation de masse au bénéfice des populations de Gbonné ( environ 40 km de Biankouma).
Cette sensibilisation a été faite en collaboration avec le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et l’Agence coréenne pour le développement KOICA. Elle visait à prévenir, à engager les autorités locales dans la lutte contre les fistules et également à repérer et référer les femmes qui souffrent de ce mal, au Centre hospitalier régional (CHR) de Man, en vue d’un traitement adéquat.
«Nous invitons les femmes enceintes à fréquenter les centres de santé pour ne pas s’exposer à la fistule obstétricale. Nous invitons celles qui souffrent de ce mal à ne pas se cacher et à venir au CHR de Man pour bénéficier de soins adéquats et également d’accompagnement pour leur réinsertion socio- économique, car nous savons que les femmes, qui ont la fistule, sont souvent rejetées et se retrouvent seules et démunies», a affirmé le directeur régional de la santé, Tia Mamadou.
Dr Tia et la représentante de la coordonnatrice de l’AIBEF du Tonkpi, N’guessan Micheline, ont également souhaité la contribution de la chefferie traditionnelle pour lutter contre l’excision et les mariages précoces qui exposent également les filles et les femmes à la fistule obstétricale.
Des femmes ayant souffert de ce mal et guéries au CHR de Man, des représentants du corps préfectoral et de la mairie de Gbonné ont promis être des relais de sensibilisation en vue de booster ce mal hors de cette localité.
La fistule obstétricale est une communication anormale entre l’organe génital féminin, la vessie et/ou le rectum, qui survient chez la femme à la suite d’un accouchement difficile, rappelle-t-on.
amak/fmo
Cette sensibilisation a été faite en collaboration avec le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et l’Agence coréenne pour le développement KOICA. Elle visait à prévenir, à engager les autorités locales dans la lutte contre les fistules et également à repérer et référer les femmes qui souffrent de ce mal, au Centre hospitalier régional (CHR) de Man, en vue d’un traitement adéquat.
«Nous invitons les femmes enceintes à fréquenter les centres de santé pour ne pas s’exposer à la fistule obstétricale. Nous invitons celles qui souffrent de ce mal à ne pas se cacher et à venir au CHR de Man pour bénéficier de soins adéquats et également d’accompagnement pour leur réinsertion socio- économique, car nous savons que les femmes, qui ont la fistule, sont souvent rejetées et se retrouvent seules et démunies», a affirmé le directeur régional de la santé, Tia Mamadou.
Dr Tia et la représentante de la coordonnatrice de l’AIBEF du Tonkpi, N’guessan Micheline, ont également souhaité la contribution de la chefferie traditionnelle pour lutter contre l’excision et les mariages précoces qui exposent également les filles et les femmes à la fistule obstétricale.
Des femmes ayant souffert de ce mal et guéries au CHR de Man, des représentants du corps préfectoral et de la mairie de Gbonné ont promis être des relais de sensibilisation en vue de booster ce mal hors de cette localité.
La fistule obstétricale est une communication anormale entre l’organe génital féminin, la vessie et/ou le rectum, qui survient chez la femme à la suite d’un accouchement difficile, rappelle-t-on.
amak/fmo
