"Une orange. Un avion": Marie-France Amondji Ngbessoo, 8 ans, déchiffre son manuel entre les insectes qui virevoltent, à la lumière produite par son cartable scolaire... et solaire.
A Allepilla, à une centaine de kilomètres au nord d'Abidjan, dans ce village de paysans cultivant le cacao, le café et des produits nourriciers, 400 personnes dont 150 enfants vivent sans électricité et avec une seule pompe à eau.
L'école de Marie-France est à 5 km de marche du hameau. Tous les matins vers 7h, une vingtaine d'enfants quittent le village à pied pour être en cours à 8h. Ils ne reviennent chez eux qu'en fin de journée, quand tombe la nuit en Afrique occidentale et centrale.
Les seuls moyens de s'éclairer sont alors des lampes-tempête au pétrole et des lampes-torches... suite de l'article sur Autre presse
A Allepilla, à une centaine de kilomètres au nord d'Abidjan, dans ce village de paysans cultivant le cacao, le café et des produits nourriciers, 400 personnes dont 150 enfants vivent sans électricité et avec une seule pompe à eau.
L'école de Marie-France est à 5 km de marche du hameau. Tous les matins vers 7h, une vingtaine d'enfants quittent le village à pied pour être en cours à 8h. Ils ne reviennent chez eux qu'en fin de journée, quand tombe la nuit en Afrique occidentale et centrale.
Les seuls moyens de s'éclairer sont alors des lampes-tempête au pétrole et des lampes-torches... suite de l'article sur Autre presse