Ferkessédougou - Les sous-préfectures du département de Ferkessédougou sont fermées à la suite d'un arrêt de travail d'une semaine observé par les agents obéissant à un mot d'ordre du Syndicat national des agents du ministère de l'intérieur (Synamici), a constaté l'AIP lundi à la sous-préfecture de Ferkessédougou.
Les agents de préfecture et sous-préfecture en grève, arrivés pour fermer la sous-préfecture, ont eu en face d'eux un dispositif sécuritaire impressionnant constitué de la police et de la gendarmerie.
«Nous observons une grève de sept jours qui sera renouvelable si nous n'avons pas gain de cause », a fait savoir le délégué régional du Synamici, Kouakou Kouadio Bruno, par ailleurs secrétaire administratif à la sous-préfecture de Ferkessédougou.
Le groupe d'agents en grève a été rejoint par leurs camarades grévistes des sous-préfectures de Togoniéré et de Koumbala qui ont également fermé pour la même cause.
Selon les syndicalistes, c'est depuis 2016 que les agents sont dans l'attente de la satisfaction de leurs revendications liés à l'amélioration de leurs conditions salariales.
«Chaque fois, le gouvernement nous promet de signer nos différents décrets, mais au bout du compte, on se rend compte qu'il n'y a toujours rien de concret. Nous sommes là pour démontrer notre mécontentement », a justifié M. Kouakou.
(AIP)
ti/bsp/fmo
Les agents de préfecture et sous-préfecture en grève, arrivés pour fermer la sous-préfecture, ont eu en face d'eux un dispositif sécuritaire impressionnant constitué de la police et de la gendarmerie.
«Nous observons une grève de sept jours qui sera renouvelable si nous n'avons pas gain de cause », a fait savoir le délégué régional du Synamici, Kouakou Kouadio Bruno, par ailleurs secrétaire administratif à la sous-préfecture de Ferkessédougou.
Le groupe d'agents en grève a été rejoint par leurs camarades grévistes des sous-préfectures de Togoniéré et de Koumbala qui ont également fermé pour la même cause.
Selon les syndicalistes, c'est depuis 2016 que les agents sont dans l'attente de la satisfaction de leurs revendications liés à l'amélioration de leurs conditions salariales.
«Chaque fois, le gouvernement nous promet de signer nos différents décrets, mais au bout du compte, on se rend compte qu'il n'y a toujours rien de concret. Nous sommes là pour démontrer notre mécontentement », a justifié M. Kouakou.
(AIP)
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