Du 15 au 17 novembre, l’institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC) abrite la première édition du festival panafricain du film d’animation, de la marionnette et du jeux vidéo.
Lors du lancement ce jeudi 15, les initiateurs du festival ont échangé avec la presse sur les objectifs et le déroulement de cette première édition. Il ressort que les Eburnades 2018 ambitionnent d’aider les enfants à retrouver les valeurs culturelles qui ont tendance à se perdre, mais aussi pousser les acteurs, les producteurs à s’inspirer des valeurs culturelles africaines dans la production des dessins animés, jeu vidéo.
Koffi Marie-Paule, présidente du festival veut à travers cette rencontre impulser le développement de ce secteur. "Il est important de motiver la conception de film d’animation qui s’appuie sur notre culture" a déclaré la présidente. des films, des ateliers et des expositions sont au programme de cette rencontre.
« Nous voulons faire la promotion de la culture, des contes et légendes, des langues et de l’histoire de l’Afrique. Nous devons éduquer nos enfants à nos propres cultures pour leur équilibre », a expliqué Luc Sialou, commissaire adjoint du festival.
Selon les organisateurs ce festival est une opportunité pour les acteurs du monde économique, culturel et social. Les festivaliers pourront , durant 3 jours, échanger sur les grandes questions portant sur l’essor de ces disciplines sur le continent africain.
DA
Lors du lancement ce jeudi 15, les initiateurs du festival ont échangé avec la presse sur les objectifs et le déroulement de cette première édition. Il ressort que les Eburnades 2018 ambitionnent d’aider les enfants à retrouver les valeurs culturelles qui ont tendance à se perdre, mais aussi pousser les acteurs, les producteurs à s’inspirer des valeurs culturelles africaines dans la production des dessins animés, jeu vidéo.
Koffi Marie-Paule, présidente du festival veut à travers cette rencontre impulser le développement de ce secteur. "Il est important de motiver la conception de film d’animation qui s’appuie sur notre culture" a déclaré la présidente. des films, des ateliers et des expositions sont au programme de cette rencontre.
« Nous voulons faire la promotion de la culture, des contes et légendes, des langues et de l’histoire de l’Afrique. Nous devons éduquer nos enfants à nos propres cultures pour leur équilibre », a expliqué Luc Sialou, commissaire adjoint du festival.
Selon les organisateurs ce festival est une opportunité pour les acteurs du monde économique, culturel et social. Les festivaliers pourront , durant 3 jours, échanger sur les grandes questions portant sur l’essor de ces disciplines sur le continent africain.
DA
