Abidjan-(Côte d’Ivoire)- L’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) a, dans une déclaration, exprimé, mardi, sa « profonde tristesse » dans la situation qui prévaut au groupe Fraternité Matin (média public) et s’engage à tout mettre en œuvre afin que la «dignité » des travailleurs soit respectée.
« C’est avec une profonde tristesse que le Conseil exécutif de l’UNJCI a pris connaissance de la liste de 123 agents dont 11 journalistes à licencier de la SNPECI, entreprise éditrice du quotidien pro-gouvernemental Fraternité Matin », indique la déclaration signée du Président de son Conseil exécutif, Moussa Traoré relevant son engagement « pour poursuivre le dialogue déjà entamé sur la question ».
Par ailleurs, la faitière des journalistes déplore « la présence de sa Super Ebony, (meilleure journaliste 2012) symbole de l'excellence, Marcelline Gneproust sur la liste des licenciés ».
Elle s’engage « à tout mettre en œuvre afin que la dignité des confrères et collègues soit respectée dans cette mauvaise passe que vit le groupe Fraternité Matin »
La semaine dernière, la nouvelle société de presse et d'édition de Côte d'Ivoire (SNPECI), éditrice du quotidien pro-gouvernemental ivoirien, Fraternité Matin a annoncé le licenciement pour motifs économiques de 123 agents dont 11 journalistes.
Ces derniers, selon la direction de l'entreprise devraient effectivement cesser toute activité au sein de ce groupe le mardi 18 décembre prochain. A la suite de cette décision, un collectif de ces 123 agents a été créé lundi à Abidjan au terme d'une Assemblée générale extraordinaire (AGO) marquée par un sit-in pour dénoncer un « licenciement abusif ».
SY/hs/ls
« C’est avec une profonde tristesse que le Conseil exécutif de l’UNJCI a pris connaissance de la liste de 123 agents dont 11 journalistes à licencier de la SNPECI, entreprise éditrice du quotidien pro-gouvernemental Fraternité Matin », indique la déclaration signée du Président de son Conseil exécutif, Moussa Traoré relevant son engagement « pour poursuivre le dialogue déjà entamé sur la question ».
Par ailleurs, la faitière des journalistes déplore « la présence de sa Super Ebony, (meilleure journaliste 2012) symbole de l'excellence, Marcelline Gneproust sur la liste des licenciés ».
Elle s’engage « à tout mettre en œuvre afin que la dignité des confrères et collègues soit respectée dans cette mauvaise passe que vit le groupe Fraternité Matin »
La semaine dernière, la nouvelle société de presse et d'édition de Côte d'Ivoire (SNPECI), éditrice du quotidien pro-gouvernemental ivoirien, Fraternité Matin a annoncé le licenciement pour motifs économiques de 123 agents dont 11 journalistes.
Ces derniers, selon la direction de l'entreprise devraient effectivement cesser toute activité au sein de ce groupe le mardi 18 décembre prochain. A la suite de cette décision, un collectif de ces 123 agents a été créé lundi à Abidjan au terme d'une Assemblée générale extraordinaire (AGO) marquée par un sit-in pour dénoncer un « licenciement abusif ».
SY/hs/ls