Séguéla, Les membres de l’Union des jeunes du Worodougou (UJEWO) ont entrepris une tournée de sensibilisation sur le renforcement de la cohésion sociale mise à mal après le scrutin municipal et régional couplé du 13 octobre, qui a fait deux morts à Séguéla.
"On parle de développement et même de processus démocratique. Mais, tout cela repose essentiellement sur la cohésion, sur la paix. S’il n’y a pas de paix, il ne peut y avoir de développement, de démocratie. Alors, nous, en tant qu’union régionale, nous nous impliquons fortement dans le processus d’apaisement", a indiqué le vice-président de l’UJEWO, Bakayoko Falikou, lors de la rencontre avec les membres de la commission régionale des droits de l’homme, non sans réaffirmer leur disponibilité à travailler avec toutes les sensibilités pour un meilleur devenir de la région du Worodougou.
La délégation de l’UJEWO, forte d’une dizaine de personnes, a rencontré, durant quatre jours, plusieurs leaders communautaires et responsables administratifs dont les guides religieux.
"Nous, en tant que jeunes, nous devons nous rassembler pour parler de paix et de cohésion. C’est en cela que l’avenir du Worodougou peut être assuré", a ajouté le président Bakayoko Falikou, annonçant, pour bientôt, les états généraux de la jeunesse du Worodougou précédés d’une campagne de sensibilisation à l’unité qui durera deux semaines.
Association apolitique créée en 2008, l’UJEWO qui regroupe les jeunes des départements de Séguéla et de Kani a pour principal objectif de contribuer au processus de développement durable en améliorant les conditions socio-économiques, culturelles et environnementales des jeunes et partant des populations de la région du Worodougou.
(AIP)
Kkp/kp
"On parle de développement et même de processus démocratique. Mais, tout cela repose essentiellement sur la cohésion, sur la paix. S’il n’y a pas de paix, il ne peut y avoir de développement, de démocratie. Alors, nous, en tant qu’union régionale, nous nous impliquons fortement dans le processus d’apaisement", a indiqué le vice-président de l’UJEWO, Bakayoko Falikou, lors de la rencontre avec les membres de la commission régionale des droits de l’homme, non sans réaffirmer leur disponibilité à travailler avec toutes les sensibilités pour un meilleur devenir de la région du Worodougou.
La délégation de l’UJEWO, forte d’une dizaine de personnes, a rencontré, durant quatre jours, plusieurs leaders communautaires et responsables administratifs dont les guides religieux.
"Nous, en tant que jeunes, nous devons nous rassembler pour parler de paix et de cohésion. C’est en cela que l’avenir du Worodougou peut être assuré", a ajouté le président Bakayoko Falikou, annonçant, pour bientôt, les états généraux de la jeunesse du Worodougou précédés d’une campagne de sensibilisation à l’unité qui durera deux semaines.
Association apolitique créée en 2008, l’UJEWO qui regroupe les jeunes des départements de Séguéla et de Kani a pour principal objectif de contribuer au processus de développement durable en améliorant les conditions socio-économiques, culturelles et environnementales des jeunes et partant des populations de la région du Worodougou.
(AIP)
Kkp/kp
