Saliou Bakayoko, président de l’Association des Sociétés d’Assurance de Côte d’Ivoire (ASA-CI) était face à la presse ce jeudi 17 janvier 2019 dans ses locaux à Cocody, boulevard Marie Thérèse Houphouët Boigny.
Cette rencontre avec les médias était motivée par la nécessité d’éclairer l’opinion nationale et plus particulièrement les souscripteurs et bénéficiaires de contrats d’assurances maladie, sur les changements intervenus depuis le 1er janvier 2019 dans les barèmes des prestations et actes médicaux dans les cliniques, et leur incidence sur l’exécution des contrats. Des faits, il ressort d’une note d’information que les cliniques et médecins privés de Côte d’Ivoire ont procédé à une augmentation des coûts de leurs actes et des tarifs de leurs honoraires, en application de dispositions de 1998 depuis le 1er janvier 2019.
Face à une telle décision, les assureurs de Côte d’Ivoire ont à travers leur président signifié leur non implication dans la fixation des honoraires des médecins et des coûts des actes médicaux. Neamoins, pour atténuer les pertes, les primes d’assurance, pour tenir compte de l’harmonisation des tarifs de 1998 en vigueur, devraient être réajustées de l’ordre de 30 à plus de 50%, mais tenant compte de la situation socio- économique des populations ivoiriennes, les assureurs ont décidé de limiter cet impact sur les primes à des taux se situant entre 15 et 20%. L’Asa-ci a par ailleurs demandé à leurs clients de souscrire à la Couverture Maladie Universelle en Côte d’Ivoire lancé par le gouvernement ivoirien.
CK
Cette rencontre avec les médias était motivée par la nécessité d’éclairer l’opinion nationale et plus particulièrement les souscripteurs et bénéficiaires de contrats d’assurances maladie, sur les changements intervenus depuis le 1er janvier 2019 dans les barèmes des prestations et actes médicaux dans les cliniques, et leur incidence sur l’exécution des contrats. Des faits, il ressort d’une note d’information que les cliniques et médecins privés de Côte d’Ivoire ont procédé à une augmentation des coûts de leurs actes et des tarifs de leurs honoraires, en application de dispositions de 1998 depuis le 1er janvier 2019.
Face à une telle décision, les assureurs de Côte d’Ivoire ont à travers leur président signifié leur non implication dans la fixation des honoraires des médecins et des coûts des actes médicaux. Neamoins, pour atténuer les pertes, les primes d’assurance, pour tenir compte de l’harmonisation des tarifs de 1998 en vigueur, devraient être réajustées de l’ordre de 30 à plus de 50%, mais tenant compte de la situation socio- économique des populations ivoiriennes, les assureurs ont décidé de limiter cet impact sur les primes à des taux se situant entre 15 et 20%. L’Asa-ci a par ailleurs demandé à leurs clients de souscrire à la Couverture Maladie Universelle en Côte d’Ivoire lancé par le gouvernement ivoirien.
CK
