Économie
Une unité de production d’aliment extrudé présentée aux pisciculteurs à Adzopé
Publié le samedi 26 janvier 2019 | AIP
|
Adzopé - Une unité de production d'aliment extrudé a été présentée, vendredi, aux pisciculteurs, en marge de l'atelier de lancement du projet FCIAD (Fonds compétitif pour l'innovation agricole durable), organisé par la société Agro-piscicole de la Mé (SAP) de la Mé.
Selon le président du conseil d'administration de SAP de la Mé, Jacques Servan, qui a présenté cette unité, elle permet de transformer l'aliment brut du poisson (le son de céréale) en aliment extrudé, le rendant ainsi plus nutritif pour les poissons.
Cet aliment extrudé, à la différence de l'aliment brut, flotte sur l'eau. Il permet ainsi aux pisciculteurs de faire une économie de 25% d'aliment utilisé par jour pour nourrir les poissons et présente un avantage considérable en matière de la qualité de l'eau, car ce type d'aliment pollue moins l'eau du bassin et améliore la productivité.
Actuellement d'une capacité de production de 400 kilogrammes par heure, cette unité produira une tonne d'aliment par heure grâce à l'acquisition d'une nouvelle machine qui sera bientôt installée.
Jacques Servan a émis le vœu de pouvoir faire bénéficier tous les pisciculteurs de la Côte d'Ivoire de ce procédé afin de voir leurs coûts et leur temps de production réduits et permettre ainsi à la population ivoirienne de consommer du poisson à moindre frais.
(AIP)
ibt/fmo
Selon le président du conseil d'administration de SAP de la Mé, Jacques Servan, qui a présenté cette unité, elle permet de transformer l'aliment brut du poisson (le son de céréale) en aliment extrudé, le rendant ainsi plus nutritif pour les poissons.
Cet aliment extrudé, à la différence de l'aliment brut, flotte sur l'eau. Il permet ainsi aux pisciculteurs de faire une économie de 25% d'aliment utilisé par jour pour nourrir les poissons et présente un avantage considérable en matière de la qualité de l'eau, car ce type d'aliment pollue moins l'eau du bassin et améliore la productivité.
Actuellement d'une capacité de production de 400 kilogrammes par heure, cette unité produira une tonne d'aliment par heure grâce à l'acquisition d'une nouvelle machine qui sera bientôt installée.
Jacques Servan a émis le vœu de pouvoir faire bénéficier tous les pisciculteurs de la Côte d'Ivoire de ce procédé afin de voir leurs coûts et leur temps de production réduits et permettre ainsi à la population ivoirienne de consommer du poisson à moindre frais.
(AIP)
ibt/fmo
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