Son histoire est celle de l’audace. "Un homme qui ne rêve pas, n’a aucune ambition", dixit-il. Devant un millier d’adolescents, l’ancien athlète reconverti en entrepreneur, Serges Doh a partagé son expérience dans la soirée du samedi 26 janvier, à Astoria Palace (Yopougon), à l’occasion du "Concours d’Excellence Girls and Boys".
Une graine qu’il a semée en cette jeunesse, qui l’a écouté religieusement. Cette leçon d’entrepreneuriat va germer assurément en ces jeunes, mais à l’aune de leur audace.
Serge Doh a, d’emblée, pris le soin de remercier Dieu, le maître des temps et des circonstances avant de dérouler son expérience : 10 ans en arrière, son entreprise spécialisée dans la monétique notamment le prépayé, se lance à l’assaut de l’Afrique.
Pour éviter d’être rattrapé par l’adage qui dit : « on n’est jamais prophète chez soi », le choix de la première destination africaine pour implanter cette entreprise est porté sur le Burkina au détriment de la Côte d’Ivoire.
Le pays des hommes intègres servira de porte d’entrée sur le continent. Pari peut-être risqué, mais en vérité il n’y avait rien à perdre. Il fallait juste essayer, travailler, développer une clientèle et y croire.
Dix années sont passées, les cartes prépayées Africards se sont imposées et ont gagné du terrain. Aujourd’hui, ce sont 35 pays africains conquis, 80 banques partenaires. L’histoire ne semble nullement s’arrêter pour le Vice-président de l’ « International Business Development ». Surtout que l’avenir, c’est le prépayé.
Bientôt, la monnaie fiduciaire va connaître une baisse considérable dans les échanges. L’électronique, le numérique, la monétique se créent au quotidien du boulevard, changeant dans leur chevauchée des habitudes.
En définitive, c’est un modèle de réussite dans l’entrepreneuriat que Serges Doh a présenté aux jeunes ivoiriens en quête d’insertion socioprofessionnelle.
Il les a exhortés à rêver plus grand. Selon lui, ni le sport, ni les diplômes du supérieur en poche n’ont suffi. Il lui a fallu du rêve, de la volonté, de l’ambition et de la motivation.
JOB
Une graine qu’il a semée en cette jeunesse, qui l’a écouté religieusement. Cette leçon d’entrepreneuriat va germer assurément en ces jeunes, mais à l’aune de leur audace.
Serge Doh a, d’emblée, pris le soin de remercier Dieu, le maître des temps et des circonstances avant de dérouler son expérience : 10 ans en arrière, son entreprise spécialisée dans la monétique notamment le prépayé, se lance à l’assaut de l’Afrique.
Pour éviter d’être rattrapé par l’adage qui dit : « on n’est jamais prophète chez soi », le choix de la première destination africaine pour implanter cette entreprise est porté sur le Burkina au détriment de la Côte d’Ivoire.
Le pays des hommes intègres servira de porte d’entrée sur le continent. Pari peut-être risqué, mais en vérité il n’y avait rien à perdre. Il fallait juste essayer, travailler, développer une clientèle et y croire.
Dix années sont passées, les cartes prépayées Africards se sont imposées et ont gagné du terrain. Aujourd’hui, ce sont 35 pays africains conquis, 80 banques partenaires. L’histoire ne semble nullement s’arrêter pour le Vice-président de l’ « International Business Development ». Surtout que l’avenir, c’est le prépayé.
Bientôt, la monnaie fiduciaire va connaître une baisse considérable dans les échanges. L’électronique, le numérique, la monétique se créent au quotidien du boulevard, changeant dans leur chevauchée des habitudes.
En définitive, c’est un modèle de réussite dans l’entrepreneuriat que Serges Doh a présenté aux jeunes ivoiriens en quête d’insertion socioprofessionnelle.
Il les a exhortés à rêver plus grand. Selon lui, ni le sport, ni les diplômes du supérieur en poche n’ont suffi. Il lui a fallu du rêve, de la volonté, de l’ambition et de la motivation.
JOB
