Séguéla– Le préfet du département de Kani, Boka Kouassi Vincent, a exhorté la direction générale du Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) à faire consommer davantage de produits à base de noix de cajou aux populations ivoiriennes, a relevé l’AIP au cours de l’atelier de lancement des activités des comités de veille du suivi de la commercialisation en 2019 tenu mardi à la préfecture.
« Je constate que dans notre vie de tous les jours, la consommation des produits dérivés de la noix de cajou n’est pas dans les habitudes des populations. (…) Je voudrais inviter la direction générale du Conseil du coton et de l’anacarde à anticiper dans ce sens », a-t-il conseillé, se référant au café et au cacao qui, dans le cas d’espèce, sont fortement dépendants des fluctuations internationales alors que le pays en est l’un des plus grands producteurs mondiaux.
Le Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou avec 734 259 tonnes en 2018, rappelle-t-on.
« Aujourd’hui, au cours des rencontres organisées par le CCA, on doit entendre parler de pause-cajou avec des choses à base de cajou », a renchéri l’un des participants à l’atelier, visiblement d’accord avec l’autorité préfectorale, prévenant que la situation qui prévaut dans la filière café-cacao risque d’arriver au niveau de l’anacarde si le pays ne s’évertue qu’à être un gros producteur.
Depuis quelques années, la Côte d’Ivoire s’est engagée dans la transformation de la noix de cajou dont le produit fini est essentiellement destiné à l’exportation, rappelle-t-on.
kkp/ask
« Je constate que dans notre vie de tous les jours, la consommation des produits dérivés de la noix de cajou n’est pas dans les habitudes des populations. (…) Je voudrais inviter la direction générale du Conseil du coton et de l’anacarde à anticiper dans ce sens », a-t-il conseillé, se référant au café et au cacao qui, dans le cas d’espèce, sont fortement dépendants des fluctuations internationales alors que le pays en est l’un des plus grands producteurs mondiaux.
Le Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou avec 734 259 tonnes en 2018, rappelle-t-on.
« Aujourd’hui, au cours des rencontres organisées par le CCA, on doit entendre parler de pause-cajou avec des choses à base de cajou », a renchéri l’un des participants à l’atelier, visiblement d’accord avec l’autorité préfectorale, prévenant que la situation qui prévaut dans la filière café-cacao risque d’arriver au niveau de l’anacarde si le pays ne s’évertue qu’à être un gros producteur.
Depuis quelques années, la Côte d’Ivoire s’est engagée dans la transformation de la noix de cajou dont le produit fini est essentiellement destiné à l’exportation, rappelle-t-on.
kkp/ask
