Kong - Les ressortissants de Kong s'approprient de plus en plus l'appel à bâtir chez eux lancé par les élus afin de de pouvoir satisfaire la demande croissante en logements induite par une plus grande présence de l'administration.
Aujourd'hui plusieurs bâtiments sortent de terre dans tous les quartiers de la ville, peut-on constater. Jadis habité exclusivement par des travailleurs, venus d'ailleurs, le quartier résidentiel présente aujourd'hui fière allure s'étendant de jour en jour.
Une nouvelle donne qui réjouit les fils de la région. Cultivateur et habitant le quartier Sagara, Ouattara Adama est tout aussi heureux de la situation qu'il met à l'actif d'une évolution positive des mentalités. Selon lui, des préjugés, ayant alimenté bien de peurs, tendent aujourd'hui à se dissiper de plus en plus.
" Avant il y avait tellement de pratiques mystiques qu'on ne pouvait pas se lever pour construire comme on le voit aujourd'hui. Sinon c'est ta propre tombe que tu creuses", a-t-il rappelé.
Un avis partagé par un autre fils de Kong, Sanogo Ibrahim, propriétaire d'une nouvelle maison au quartier Somanso. " Si c'était avant, je n'allais pas avoir le courage de me bâtir cette maison ici. Aujourd'hui grâce à Dieu , la jeunesse est libre de construire", a t-il confié.
kkiv/kg/ask
Aujourd'hui plusieurs bâtiments sortent de terre dans tous les quartiers de la ville, peut-on constater. Jadis habité exclusivement par des travailleurs, venus d'ailleurs, le quartier résidentiel présente aujourd'hui fière allure s'étendant de jour en jour.
Une nouvelle donne qui réjouit les fils de la région. Cultivateur et habitant le quartier Sagara, Ouattara Adama est tout aussi heureux de la situation qu'il met à l'actif d'une évolution positive des mentalités. Selon lui, des préjugés, ayant alimenté bien de peurs, tendent aujourd'hui à se dissiper de plus en plus.
" Avant il y avait tellement de pratiques mystiques qu'on ne pouvait pas se lever pour construire comme on le voit aujourd'hui. Sinon c'est ta propre tombe que tu creuses", a-t-il rappelé.
Un avis partagé par un autre fils de Kong, Sanogo Ibrahim, propriétaire d'une nouvelle maison au quartier Somanso. " Si c'était avant, je n'allais pas avoir le courage de me bâtir cette maison ici. Aujourd'hui grâce à Dieu , la jeunesse est libre de construire", a t-il confié.
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