La journée internationale des mutilations/ excision des filles a été célébrée le 06 février 2019 au lycée houphouet Boigny de korhogo située au Nord de la Côte d’Ivoire a travers le projet «Ma plume, un cri du cœur contre l’excision » conduit par Mme Affoué Hélène Soungalo. C’était en présence du secrétaire général 2 de la préfecture de korhogo Diandé Lorgn Abou Béchir, des élus locaux, du directeur régional de l’éducation nationale Koffi Koménan Hyacinthe, du personnel enseignant , des femmes auteurs d’œuvres littéraires et de nombreuses filles élèves la cible concernée. une minute de silence a été observée à la mémoire de feu Fatou Fanny Cissé, auteur de " la blessure" et de " Amour à vif" membre des femmes écrivains en lutte contre les MGF / Excision, et qui est malheureusement décédée au mois de décembre dernier. Il s’agit de la grande Fatou Fanny Cissé, auteur de " la blessure" et de " Amour à vif" ,
Ainsi a l’occasion de cette journée mondiale dédiée à la lutte contre les mutilations génitales féminines(mgf/ excision), le collectif des femmes écrivains en lutte contre les mutilations génitales féminines a organisé en partenariat avec la direction régionale de l’éducation nationale de korhogo, une cérémonie de dédicace de leurs livres, précédée d’une conférence sur le thème : «les conséquences des mutilations génitales sur la vie sexuelle des femmes » au lycée Houphouët Boigny de Korhogo bénéficiant du soutien de la fondation children of africa de la première dame de Côte d’ivoire, Dominique Ouattara qui œuvre en faveur de la lutte contre les mutilations génitales, le mariage des enfants et les pires formes de travail. Les filles des lycées Dominique Ouattara, . Félix Houphouët Boigny et Natio Kobadara de korhogo et , dans leur combat pour aider les plus jeunes ont ensemble porter le message vers les exciseuses afin que plus aucun enfant ne souffre de cette pratique.
Pour rappel en instaurant une journée internationale de la lutte contre l’excision le 6 février de chaque année, les Nations Unies ont fait de cette lutte, une pérennisation sur le terrain, de l’action mondiale en faveur des droits humains. La résolution 67-146 des Nations Unies sur l’intensification de l’action mondiale visant à éliminer les Mutilations Génitales d’ici 2030 a été adoptée par l’Assemblée Générale. Le DREN Koffi Koménan Hyacinthe et le secrétaire général 2 de la préfecture de korhogo ont rassuré les acteurs de la lutte contre l’excision de leurs disponibilités à les accompagner « car l’excision constitue des causes liées aux abandons scolaires ».
Aly O. à Korhogo
Ainsi a l’occasion de cette journée mondiale dédiée à la lutte contre les mutilations génitales féminines(mgf/ excision), le collectif des femmes écrivains en lutte contre les mutilations génitales féminines a organisé en partenariat avec la direction régionale de l’éducation nationale de korhogo, une cérémonie de dédicace de leurs livres, précédée d’une conférence sur le thème : «les conséquences des mutilations génitales sur la vie sexuelle des femmes » au lycée Houphouët Boigny de Korhogo bénéficiant du soutien de la fondation children of africa de la première dame de Côte d’ivoire, Dominique Ouattara qui œuvre en faveur de la lutte contre les mutilations génitales, le mariage des enfants et les pires formes de travail. Les filles des lycées Dominique Ouattara, . Félix Houphouët Boigny et Natio Kobadara de korhogo et , dans leur combat pour aider les plus jeunes ont ensemble porter le message vers les exciseuses afin que plus aucun enfant ne souffre de cette pratique.
Pour rappel en instaurant une journée internationale de la lutte contre l’excision le 6 février de chaque année, les Nations Unies ont fait de cette lutte, une pérennisation sur le terrain, de l’action mondiale en faveur des droits humains. La résolution 67-146 des Nations Unies sur l’intensification de l’action mondiale visant à éliminer les Mutilations Génitales d’ici 2030 a été adoptée par l’Assemblée Générale. Le DREN Koffi Koménan Hyacinthe et le secrétaire général 2 de la préfecture de korhogo ont rassuré les acteurs de la lutte contre l’excision de leurs disponibilités à les accompagner « car l’excision constitue des causes liées aux abandons scolaires ».
Aly O. à Korhogo
