Les Organisations Agricoles de la filière Café-Cacao, réunies en conférence de presse le samedi 02 mars ont de façon unanime, fait plusieurs précisions sur certains propos qui tendent à les discréditer. Kambou Sié, ingénieur agronome, président de ladite fédération a au nom de ses camarades, lancé un appel à la solidarité autour de leur union.
Le communiqué final de cette rencontre dont une copie nous a été transmise indique que :
La FOP.CC n’est pas une organisation qui appartient à une quelconque structure publique ou privée, tous les producteurs peuvent adhérer massivement
Nous rappelons qu’une Fédération est une organisation ou l’adhésion est libre et qui veut adhérer vient, on ne force personne
Aucune loi n’interdit en Côte d’Ivoire un salarié d’être à la tête d’une organisation de surcroît un Ingénieur Agronome, fils de producteur de café-cacao et lui-même producteur à la tête d’une Fédération des producteurs de café-cacao qui est la FOP.CC.
Nous demandons à la Primature, aux Ministères et au Conseil du Café-Cacao, structure des producteurs de ne pas donner 5 francs des producteurs aux personnes qui ont détourné des milliards des producteurs impunément sans être inquiétés. Celui qui le fait aura tous les 1 000 000 de producteurs sur son dos à dédommager.
Si d’aventure de l’argent doit être remis aux producteurs, il serait préférable de financer les projets de transformation du café-cacao au profit des producteurs, des projets de renforcement des capacités des sociétés coopératives, des projets sociaux pour le bien être des producteurs ou des projets d’amélioration de la commercialisation intérieure (sécurité, bancarisation, paiement électronique, financement).
Nous disons à tous les anciens Dirigeants (Directeurs Généraux, Directeurs régionaux, etc.) dont leurs gestions ont mis en genou (en faillite) des structures de la filière d’éviter de susciter des grèves des producteurs dans l’ombre et d’éviter de mettre entrave aux avancements des bons projets (recensement des producteurs, prix plancher du cacao, organisation des producteurs pour l’interprofession, etc..) initiés par le Conseil du Café-Cacao. S’ils continuent, nous allons les dénoncer bientôt avec des preuves à l’appui
La FOP.CC, LE FISPCC, LE CNPCC, L’ANOPACI sont des organisations crédibles pour conduire la formation du collège des producteurs pour arriver à l’interprofession de la filière. Nous demandons à toutes les organisations (associations, unions, sociétés coopératives) de venir rejoindre la majorité.
Nous demandons au SYNAPCI de Koné Moussa d’arrêter de perturber nos rencontres à l’intérieur du pays comme ce fut le cas le 27/02/2019 à Gagnoa en présence du Secrétaire Général de la Préfecture de Gagnoa, le Responsable Régional du CCC, le DR de l’Agriculture. Qu’il reste tranquille, c’est au nom de la paix du Chef de l’Etat qu’il n’est pas allé en prison. Mais s’il continue, nous allons le dénoncer et il sera traduit devant les juridictions compétentes. Nous avons beaucoup de preuves de malversations contre lui et son groupe.
Une grande réunion de toutes les organisations travailleuses sera convoquée bientôt.
Chers producteurs, restez à l’écoute.
Président FOP.CC
Président FISPCC
Président CNPCC
Représentant ANOPACI
Le communiqué final de cette rencontre dont une copie nous a été transmise indique que :
La FOP.CC n’est pas une organisation qui appartient à une quelconque structure publique ou privée, tous les producteurs peuvent adhérer massivement
Nous rappelons qu’une Fédération est une organisation ou l’adhésion est libre et qui veut adhérer vient, on ne force personne
Aucune loi n’interdit en Côte d’Ivoire un salarié d’être à la tête d’une organisation de surcroît un Ingénieur Agronome, fils de producteur de café-cacao et lui-même producteur à la tête d’une Fédération des producteurs de café-cacao qui est la FOP.CC.
Nous demandons à la Primature, aux Ministères et au Conseil du Café-Cacao, structure des producteurs de ne pas donner 5 francs des producteurs aux personnes qui ont détourné des milliards des producteurs impunément sans être inquiétés. Celui qui le fait aura tous les 1 000 000 de producteurs sur son dos à dédommager.
Si d’aventure de l’argent doit être remis aux producteurs, il serait préférable de financer les projets de transformation du café-cacao au profit des producteurs, des projets de renforcement des capacités des sociétés coopératives, des projets sociaux pour le bien être des producteurs ou des projets d’amélioration de la commercialisation intérieure (sécurité, bancarisation, paiement électronique, financement).
Nous disons à tous les anciens Dirigeants (Directeurs Généraux, Directeurs régionaux, etc.) dont leurs gestions ont mis en genou (en faillite) des structures de la filière d’éviter de susciter des grèves des producteurs dans l’ombre et d’éviter de mettre entrave aux avancements des bons projets (recensement des producteurs, prix plancher du cacao, organisation des producteurs pour l’interprofession, etc..) initiés par le Conseil du Café-Cacao. S’ils continuent, nous allons les dénoncer bientôt avec des preuves à l’appui
La FOP.CC, LE FISPCC, LE CNPCC, L’ANOPACI sont des organisations crédibles pour conduire la formation du collège des producteurs pour arriver à l’interprofession de la filière. Nous demandons à toutes les organisations (associations, unions, sociétés coopératives) de venir rejoindre la majorité.
Nous demandons au SYNAPCI de Koné Moussa d’arrêter de perturber nos rencontres à l’intérieur du pays comme ce fut le cas le 27/02/2019 à Gagnoa en présence du Secrétaire Général de la Préfecture de Gagnoa, le Responsable Régional du CCC, le DR de l’Agriculture. Qu’il reste tranquille, c’est au nom de la paix du Chef de l’Etat qu’il n’est pas allé en prison. Mais s’il continue, nous allons le dénoncer et il sera traduit devant les juridictions compétentes. Nous avons beaucoup de preuves de malversations contre lui et son groupe.
Une grande réunion de toutes les organisations travailleuses sera convoquée bientôt.
Chers producteurs, restez à l’écoute.
Président FOP.CC
Président FISPCC
Président CNPCC
Représentant ANOPACI
