Abidjan - Le Vice-président ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a appelé, lundi, les gouvernements, le secteur privé, la société civile, le milieu académique et de la recherche, les partenaires techniques et financiers à coordonner les efforts pour améliorer les systèmes alimentaires afin d’atteindre les objectifs nutritionnels en Afrique et éradiquer la faim et la malnutrition.
Le vice-président s'exprimait lors de la cérémonie de lancement du Centre d'excellence contre la faim et la malnutrition en Afrique (CERFAM). Il a encouragé toutes les parties prenantes à s’unir afin d’atteindre les objectifs de nutrition de manière écologiquement, socialement et économique durable.
Saluant l’engagement du roi du Lesotho Letsie III, par ailleurs Champion pour la nutrition de l’Union Africain (UA) et celui des facilitateurs nationaux pour l’examen stratégique "zéro faim" des différents pays, il a les incités à unir les efforts à ceux de la Côte d’Ivoire qui abrite ce Centre d’excellence, afin d’éliminer ce fléau.
La sous alimentation et l’insécurité alimentaire connaissent une hausse sans précédent en Afrique subsaharienne avec plus de 23 % de la population en insécurité alimentaire et 21% de la population en sous alimentation. La malnutrition chronique ou retard de croissance, affecte en Afrique, 30,3 % des enfants de moins de cinq ans, pour un seuil acceptable de 20% selon l’OMS, a relevé Kablan Duncan.
(AIP)
tad/fmo
Le vice-président s'exprimait lors de la cérémonie de lancement du Centre d'excellence contre la faim et la malnutrition en Afrique (CERFAM). Il a encouragé toutes les parties prenantes à s’unir afin d’atteindre les objectifs de nutrition de manière écologiquement, socialement et économique durable.
Saluant l’engagement du roi du Lesotho Letsie III, par ailleurs Champion pour la nutrition de l’Union Africain (UA) et celui des facilitateurs nationaux pour l’examen stratégique "zéro faim" des différents pays, il a les incités à unir les efforts à ceux de la Côte d’Ivoire qui abrite ce Centre d’excellence, afin d’éliminer ce fléau.
La sous alimentation et l’insécurité alimentaire connaissent une hausse sans précédent en Afrique subsaharienne avec plus de 23 % de la population en insécurité alimentaire et 21% de la population en sous alimentation. La malnutrition chronique ou retard de croissance, affecte en Afrique, 30,3 % des enfants de moins de cinq ans, pour un seuil acceptable de 20% selon l’OMS, a relevé Kablan Duncan.
(AIP)
tad/fmo
