Le maire de la commune de Bouna, Ouattara Bouraïma, a annoncé, mardi, l'installation imminente d'une banque dans la ville pour mettre fin aux calvaire des fonctionnaires et opérateurs économiques de la région.
Il s'agit de la Société Générale Côte d'Ivoire. Un espace de 2000 m2 a été déjà identifié dans la ville, pour la construction rapide des locaux de cette structure financière, a tenu à rassurer le maire.
Une information saluée par les populations et fonctionnaires qui voient ainsi la fin de plusieurs années de calvaire, du fait de l'absence notoire de banque dans la ville de Bouna qui est de surcroît, le chef-lieu d'une région administrative du pays.
L’absence de banques à Bouna oblige, à chaque fin de mois, certains fonctionnaires à se rendre à Bondoukou, Agnibilékrou, Abengourou voire Abidjan pour leurs opérations bancaires. Un exode qui crée des absences répétées dans les services et donc met à mal le fonctionnement régalien des structures de l'Etat, a constaté l'AIP.
L'absence de banques contraint donc ces hommes et femmes à tout braver pour emprunter ces routes incertaines du Bounkani où des bandits embusqués font la loi.
L'installation de cette banque souhaitée de tous les vœux pourra ainsi permettre d'attirer de nombreuses autres banques pour le grand bonheur des opérateurs économiques et surtout des 1200 fonctionnaires et agents de l'Etat que compte la région du Bounkani.
(AIP)
Il s'agit de la Société Générale Côte d'Ivoire. Un espace de 2000 m2 a été déjà identifié dans la ville, pour la construction rapide des locaux de cette structure financière, a tenu à rassurer le maire.
Une information saluée par les populations et fonctionnaires qui voient ainsi la fin de plusieurs années de calvaire, du fait de l'absence notoire de banque dans la ville de Bouna qui est de surcroît, le chef-lieu d'une région administrative du pays.
L’absence de banques à Bouna oblige, à chaque fin de mois, certains fonctionnaires à se rendre à Bondoukou, Agnibilékrou, Abengourou voire Abidjan pour leurs opérations bancaires. Un exode qui crée des absences répétées dans les services et donc met à mal le fonctionnement régalien des structures de l'Etat, a constaté l'AIP.
L'absence de banques contraint donc ces hommes et femmes à tout braver pour emprunter ces routes incertaines du Bounkani où des bandits embusqués font la loi.
L'installation de cette banque souhaitée de tous les vœux pourra ainsi permettre d'attirer de nombreuses autres banques pour le grand bonheur des opérateurs économiques et surtout des 1200 fonctionnaires et agents de l'Etat que compte la région du Bounkani.
(AIP)
