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Société Publié le vendredi 21 juin 2019 | AIP

L’ambassadeur de France salue le travail de l’IPR contre les maladies à vecteur

Bouaké- L’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Gilles Huberson, a salué, jeudi, à Bouaké, le travail abattu par les chercheurs de l’institut Pierre Richet (IPR), du centre de recherche de l’institut national de santé publique (INSP) pour la lutte contre les maladies à transmission vectorielle (transmission par les insectes) comme le paludisme.

Lors d’une visite de M. Huberson au sein l’Institut Pierre Richet, il s’est s’imprégné de son fonctionnement et de sa mission et a adressé ses félicitations à l’ensemble du personnel avec à leur tête le directeur Dr. Dramane Kaba.

«C’est un centre d’excellence qui n’est pas seulement un centre d’excellence ivoirien. C’est un centre d’excellence pour la sous-région, un centre d’excellence mondial.», a signifié Gilles Huberson.

Il promet d’apporter son appui aux initiatives qui seront engagées par les autorités ivoiriennes pour la recherche de fonds de soutien de cet institut de recherche. En plus, il a annoncé avoir pris personnellement l’initiative d’un partenariat sur les visas en faveur des chercheurs de l’IPR qui vont régulièrement en France. Cet accord, a-t-il ajouté, leur permettra d’avoir des visas à durée très étendue afin de leur éviter les nombreuses démarches auprès de l’ambassade de France.

L’Institut Pierre Richet (IPR) était un centre de recherche sous régional qui a été rattaché depuis 2000 à l’Institut national de santé publique (INSP) et qui relève du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique.

Bénéficiant de l’appui de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et d’autres partenaires, l’IPR mène la recherche fondamentale, opérationnelle sur les maladies à transmission vectorielle en vue de proposer des solutions aux problèmes de santé publique. La moustiquaire imprégnée a été inventée dans ce centre comme solution de prévention le paludisme.

L’institut a été doté depuis le 7 mai dernier d’un nouveau laboratoire de lutte contre le paludisme dénommé Centre pour l’évaluation des outils de lutte anti-vectorielle. Ce laboratoire permettra de développer et évaluer de nouveaux produits insecticides qui pourraient être des solutions aux résistances développées, de plus en plus, par les moustiques contre les outils conventionnels jusque-là utilisés pour lutter contre le paludisme.


nbf/ask
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