Korhogo, Des acteurs des chaînes des valeurs des filières maïs, riz et légume, de la région du Poro, ont validé, mardi, à Korhogo, une étude de diagnostic organisationnel proposant une série d’actions à entreprendre pour améliorer la compétitivité de ces filières.
Sept groupes d’actions ont été identifiés au terme de cette étude réalisée par l’Agence nationale de développement rural (Anader) dans les régions du Poro et de la Bagoué, à la demande du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca).
Il s’agit d’actions de formalisation des acteurs (leur conférer une existence formelle), de renforcement de capacités, d’alphabétisation et de réhabilitation d’ouvrages et d’appui aux équipements de production à l’abandon, a précisé le directeur des études et de la consultance à l’Anader, Dr Miaman Koné, qui a dirigé cette étude.
Les actions d’amélioration de la qualité et de la compétitivité des produits, de renforcement de la synergie entre les acteurs au sein d’une même filière et de suivi-évaluation complètent la liste.
Une trentaine de producteurs, de transformateurs, de commerçants de restaurateurs et de fabricants d’outils traditionnels ont participé à la séance de validation qui a permis de faire ressortir les forces et les faiblesses de chacune des trois filières, ainsi que les menaces et les opportunités qui se présentent à elle.
L’étude a débuté au début du mois d’avril dans l’ensemble des sous-préfectures des deux régions, a souligné Dr Miama. Elle a montré en outre la façon dont ces filières sont organisées au niveau régional et national et permis de dresser la cartographie des acteurs qui les animent.
Une séance de validation similaire est prévue, jeudi, à Boundiali, avec les acteurs de la Bagoué, a annoncé l’Anader.
(AIP)
kaem/fmo
Sept groupes d’actions ont été identifiés au terme de cette étude réalisée par l’Agence nationale de développement rural (Anader) dans les régions du Poro et de la Bagoué, à la demande du Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (Firca).
Il s’agit d’actions de formalisation des acteurs (leur conférer une existence formelle), de renforcement de capacités, d’alphabétisation et de réhabilitation d’ouvrages et d’appui aux équipements de production à l’abandon, a précisé le directeur des études et de la consultance à l’Anader, Dr Miaman Koné, qui a dirigé cette étude.
Les actions d’amélioration de la qualité et de la compétitivité des produits, de renforcement de la synergie entre les acteurs au sein d’une même filière et de suivi-évaluation complètent la liste.
Une trentaine de producteurs, de transformateurs, de commerçants de restaurateurs et de fabricants d’outils traditionnels ont participé à la séance de validation qui a permis de faire ressortir les forces et les faiblesses de chacune des trois filières, ainsi que les menaces et les opportunités qui se présentent à elle.
L’étude a débuté au début du mois d’avril dans l’ensemble des sous-préfectures des deux régions, a souligné Dr Miama. Elle a montré en outre la façon dont ces filières sont organisées au niveau régional et national et permis de dresser la cartographie des acteurs qui les animent.
Une séance de validation similaire est prévue, jeudi, à Boundiali, avec les acteurs de la Bagoué, a annoncé l’Anader.
(AIP)
kaem/fmo
