Abidjan, Les performances de la Côte d’Ivoire en matière de lutte contre la corruption ont expliquée mardi, aux médias, au cours d’une conférence de presse, animée par le directeur de cabinet de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), Bakari Traoré.
« Sur la période de 2013 à 2018, notre pays a réalisé de très belles performances puisqu’il est classé par Transparency International parmi les trois pays qui ont réalisé les meilleurs progrès au monde, avec plus de huit points. Depuis 2012, seuls 20 pays, dont l’Estonie et la Côte d’Ivoire, ont considérablement amélioré leur score », a expliqué M. Traoré.
Selon lui, l’absence de communication sur ces progrès auprès de la population justifie le pourcentage de personnes (58%) qui pensent toujours que le gouvernement ne fait pas suffisamment pour la lutte contre la corruption.
« La Haute autorité pour la bonne gouvernance a conscience que la population attend d’elle des performances plus poussées. Nous sommes en train de travailler de façon pointure sur les causes de la corruption. Il y a nécessité de faire de la sensibilisation ciblée », a-t-il relevé.
Avec un taux de 40% de personnes interrogées qui estiment que la corruption s’est accrue, la HABG fait savoir que la Côte d’Ivoire n’est pas en mauvaise position concernant ses performances en termes d’accroissement du niveau de la corruption depuis 2016.
« La Côte d’Ivoire qui a un taux de 40%, se situe tout juste après le 7e pays qui figure sur la liste des meilleurs scores. Si l’on prend les 35 pays dans lesquels il y a eu les enquêtes, la Côte d’Ivoire se situe à la 8e position », a-t-il soutenu.
Cette rencontre d’échanges et d’informations avec la presse, intervient à la suite des interprétations des données publiées le 10e rapport de Afrobarometer en liaison avec Transparency International.
(AIP)
ena/fmo
« Sur la période de 2013 à 2018, notre pays a réalisé de très belles performances puisqu’il est classé par Transparency International parmi les trois pays qui ont réalisé les meilleurs progrès au monde, avec plus de huit points. Depuis 2012, seuls 20 pays, dont l’Estonie et la Côte d’Ivoire, ont considérablement amélioré leur score », a expliqué M. Traoré.
Selon lui, l’absence de communication sur ces progrès auprès de la population justifie le pourcentage de personnes (58%) qui pensent toujours que le gouvernement ne fait pas suffisamment pour la lutte contre la corruption.
« La Haute autorité pour la bonne gouvernance a conscience que la population attend d’elle des performances plus poussées. Nous sommes en train de travailler de façon pointure sur les causes de la corruption. Il y a nécessité de faire de la sensibilisation ciblée », a-t-il relevé.
Avec un taux de 40% de personnes interrogées qui estiment que la corruption s’est accrue, la HABG fait savoir que la Côte d’Ivoire n’est pas en mauvaise position concernant ses performances en termes d’accroissement du niveau de la corruption depuis 2016.
« La Côte d’Ivoire qui a un taux de 40%, se situe tout juste après le 7e pays qui figure sur la liste des meilleurs scores. Si l’on prend les 35 pays dans lesquels il y a eu les enquêtes, la Côte d’Ivoire se situe à la 8e position », a-t-il soutenu.
Cette rencontre d’échanges et d’informations avec la presse, intervient à la suite des interprétations des données publiées le 10e rapport de Afrobarometer en liaison avec Transparency International.
(AIP)
ena/fmo
