Abidjan, Les représentants des organismes et ministères intervenant dans le Programme d’action stratégique du bassin de la Volta (VSIP), ont participé, mardi, à un atelier, à Abidjan, en vue de mettre en place de la structure focale nationale (SFN) de l’Autorité du bassin de la Volta (AVB) créée le 19 janvier 2007.
Elle est composée de huit membres issus de cinq ministères et deux associations qui auront pour tâche d’aider le point focal national, Goula Bi Tié Albert, dans la mise en œuvre de la politique de ladite Autorité à l’échelle pays en vue d’une meilleure planification des ressources en eau dans la Volta.
Il s’agit des ministères en charge de la gestion et de la protection des ressources en eau, du développent rural et de la maitrise de l’eau dans le domaine agricole, de l’intégration et des ivoiriens de l’extérieur, du ministère de l’économie et des finances et la décentralisation et du développement local ainsi que de deux acteurs que sont les ONG et associations des municipalités.
Les acteurs nationaux ont eu droit, au cours de l’atelier, à un bref aperçu de l’AVB, à une présentation du modèle de structure focale adoptée en février 2018, à un établissement de la liste des membres de la SFN suivant la spécificité administrative du pays et à un examen du projet de décision portant création, attributions, composition et fonctionnement de la SFN-AVB du pays.
Au nom du ministre ivoirien des Eaux et Forêts, Colonel Ehoussou Nianzou Baptiste, par ailleurs directeur des ressources en eau, a salué, à l’ouverture des travaux, l’installation des SFN dans les six pays membres de l’AVB car elles apparaissent comme des maillons essentiels dans le dispositif opérationnel.
« Que les travaux de cet atelier soient un heureux contexte pour empêcher la dégradation des ressources naturelles, les effets néfastes du changement climatiques et offrir à nos générations futures, un monde meilleur », a-t-il recommandé, remerciant les partenaires au projet dont le Banque mondiale pour son appui.
A 11 jours de la fin du projet, le directeur exécutif adjoint de l’AVB, Dibi Millogo, a souhaité que les SFN qui seront mises en place soient une plateforme d’échanges fructueux autour des questions de la terre et de l’eau afin de léguer aux générations futures, «un héritage de valeur » qu’elles seront fières d’entretenir.
La superficie du bassin de la Volta est estimée à environ 400 000km², inégalement répartie entre ses états membres que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali et le Togo.
Pourtant le bassin de la Volta est une source importante de revenus et un moteur de développement socio-économique pour ses populations qui vivent majoritairement d’agriculture, de pêche et d’aquaculture ainsi que d’élevage et de foresterie.
Il a la particularité de présenter une configuration géographique faisant que les problèmes et intérêts concomitants se limitent à deux ou trois pays qui partagent le même sous-bassin.
(AIP)
fmo
Elle est composée de huit membres issus de cinq ministères et deux associations qui auront pour tâche d’aider le point focal national, Goula Bi Tié Albert, dans la mise en œuvre de la politique de ladite Autorité à l’échelle pays en vue d’une meilleure planification des ressources en eau dans la Volta.
Il s’agit des ministères en charge de la gestion et de la protection des ressources en eau, du développent rural et de la maitrise de l’eau dans le domaine agricole, de l’intégration et des ivoiriens de l’extérieur, du ministère de l’économie et des finances et la décentralisation et du développement local ainsi que de deux acteurs que sont les ONG et associations des municipalités.
Les acteurs nationaux ont eu droit, au cours de l’atelier, à un bref aperçu de l’AVB, à une présentation du modèle de structure focale adoptée en février 2018, à un établissement de la liste des membres de la SFN suivant la spécificité administrative du pays et à un examen du projet de décision portant création, attributions, composition et fonctionnement de la SFN-AVB du pays.
Au nom du ministre ivoirien des Eaux et Forêts, Colonel Ehoussou Nianzou Baptiste, par ailleurs directeur des ressources en eau, a salué, à l’ouverture des travaux, l’installation des SFN dans les six pays membres de l’AVB car elles apparaissent comme des maillons essentiels dans le dispositif opérationnel.
« Que les travaux de cet atelier soient un heureux contexte pour empêcher la dégradation des ressources naturelles, les effets néfastes du changement climatiques et offrir à nos générations futures, un monde meilleur », a-t-il recommandé, remerciant les partenaires au projet dont le Banque mondiale pour son appui.
A 11 jours de la fin du projet, le directeur exécutif adjoint de l’AVB, Dibi Millogo, a souhaité que les SFN qui seront mises en place soient une plateforme d’échanges fructueux autour des questions de la terre et de l’eau afin de léguer aux générations futures, «un héritage de valeur » qu’elles seront fières d’entretenir.
La superficie du bassin de la Volta est estimée à environ 400 000km², inégalement répartie entre ses états membres que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Mali et le Togo.
Pourtant le bassin de la Volta est une source importante de revenus et un moteur de développement socio-économique pour ses populations qui vivent majoritairement d’agriculture, de pêche et d’aquaculture ainsi que d’élevage et de foresterie.
Il a la particularité de présenter une configuration géographique faisant que les problèmes et intérêts concomitants se limitent à deux ou trois pays qui partagent le même sous-bassin.
(AIP)
fmo
