Korhogo, Vingt-trois personnes identifiées par leur structure respective participent à un atelier de formation à la prévention des accidents chimiques graves et à la protection des populations depuis mardi à Korhogo, dans le cadre du Projet 69.
Cette formation qui va durer deux jours se situe dans le cadre du projet 69, prolongement d’un précédemment projet sur la sécurité des installations à hauts risques. C’est une initiative de la primature, a appris l’AIP sur place.
Elle vise à faire prendre davantage conscience aux industriels des risques que génèrent leurs activités, à susciter la mise des installations aux normes de la réglementation internationale et à donner à l’administration publique la capacité de faire face aux risques éventuels, a confié le colonel Karamoko Vadiawié, Chef du bureau emploi du groupement des sapeurs-pompiers militaires, formateur régional pour ce projet.
« Il faut que l’industriel puisse mettre en place un Plan d’opération interne appelé POI (…) pour pouvoir maitriser le risque en son sein. Et si éventuellement ce risque sortait de son entreprise, il faut que le préfet puisse protéger la population en mettant en place un Plan particulier d’intervention qu’on appelle PPI », a précisé le colonel.
Issus notamment du milieu des forces de défense et de sécurité, des personnels industriels et de l’administration, les participants à la formation sont appelés à devenir à leur tour des formateurs dans leur structure respective. Ils contribueront ainsi à informer la population dans son ensemble des risques qui l’entourent du fait des installations à hauts risques et surtout des précautions à prendre en cas de sinistre grave.
(AIP)
kaem/ask
Cette formation qui va durer deux jours se situe dans le cadre du projet 69, prolongement d’un précédemment projet sur la sécurité des installations à hauts risques. C’est une initiative de la primature, a appris l’AIP sur place.
Elle vise à faire prendre davantage conscience aux industriels des risques que génèrent leurs activités, à susciter la mise des installations aux normes de la réglementation internationale et à donner à l’administration publique la capacité de faire face aux risques éventuels, a confié le colonel Karamoko Vadiawié, Chef du bureau emploi du groupement des sapeurs-pompiers militaires, formateur régional pour ce projet.
« Il faut que l’industriel puisse mettre en place un Plan d’opération interne appelé POI (…) pour pouvoir maitriser le risque en son sein. Et si éventuellement ce risque sortait de son entreprise, il faut que le préfet puisse protéger la population en mettant en place un Plan particulier d’intervention qu’on appelle PPI », a précisé le colonel.
Issus notamment du milieu des forces de défense et de sécurité, des personnels industriels et de l’administration, les participants à la formation sont appelés à devenir à leur tour des formateurs dans leur structure respective. Ils contribueront ainsi à informer la population dans son ensemble des risques qui l’entourent du fait des installations à hauts risques et surtout des précautions à prendre en cas de sinistre grave.
(AIP)
kaem/ask
