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Société Publié le mercredi 28 août 2019 | Le Nouveau Réveil

L’abbé Obrou Augustin, responsable de la Communication de l’Eglise Catholique, suite à l’arrestation du meurtrier : « Dieu merci, justice a été rendue… »

© Le Nouveau Réveil Par CK
Le père Augustin Obrou, Responsable de communication de l’archevêché d’Abidjan.
Le Lundi dernier, le procureur de la République, dans un communiqué, a révélé l’identité de l’assassin de la secrétaire de la Paroisse Sainte Cécile, Faustine Brou N’guessan, ainsi que deux autres personnes sous mandat de dépôt, arrêtées dans le cadre de cette même affaire. Anderson Niamké Tchi Heiman, qui a avoué volontairement lors de son interrogatoire, avoir donné la mort à la secrétaire de l’Eglise Sainte Cécile, après une interpellation, risque un « emprisonnement à vie » selon la qualification des faits. Mis en cause avec deux autres personnes, ils ont été déférés au Parquet et immédiatement placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction, indique un communiqué du procureur de la République, Richard Christophe Adou. Qui précise, en outre, que le portable et la carte d’identité ont été retrouvés chez Niamké Tchi Heiman. L’Eglise Catholique de Côte d’Ivoire, suite au communiqué du procureur, a réagi, hier à travers son service communication, lors d’une conférence de presse animée à cet effet à la Cathédrale Saint Paul d’Abidjan. Par la Voix de l’Abbé Augustin Obrou, l’Eglise Catholique a dit grand merci aux autorités policières qui ont rapidement mis le grappin sur le meurtrier. « Dieu merci, justice a été rendue pour cette pauvre femme littéralement découpée à la machette » a dit l’Abbé Augustin Obrou. Et de faire savoir que le clergé a travaillé en parfaite collaboration avec les enquêteurs en vue de parvenir à l’arrestation des présumés coupables. « Il n’y a rien de nouveau. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec la police et 3 jours après, ils avaient déjà mis la main sur le meurtrier mais il fallait laisser l’enquête se poursuivre pour mettre le grappin sur les autres personnes, complices et comprendre le mobile de cet acte crapuleux » a dit, en substance, le conférencier. C’est à partir d’un portrait robot réalisé suite au témoignage d’un témoin que le présumé auteur a été appréhendé chez lui à N’dotré. C’est le 10 août dernier, alors qu’elle était à ses bureaux que Dalé Faustine Brou N’guessan a été tailladée à la machette.

JP
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