Le Directeur Général du Fonds de Prévoyance de la Police Nationale (FPPN), le commissaire divisionnaire de police, Kadjané Jacques a convié le vendredi 27 septembre à la salle de conférence du siège du fonds en zone 4, les mutualistes n’ayant pas encore perçu leur épargne à une réunion au cours de laquelle, il les a rassuré quant aux démarches entreprises par le fonds pour les satisfaire.
Face à la grogne de ceux-ci qui projetaient une grève pour se faire entendre, Jacques Kadjané, les a invités à faire profil bas.
« Nous avons des échos favorables concernant la résolution de cette situation. Dans l’impatience, nous vous invitons à vous abstenir de toutes sortes de velléités qui pourraient retarder encore la prise de décision en votre faveur. Nous vous invitons à faire confiance au ministre de la sécurité et de la protection civile, Vagondo Diomandé, fraîchement installé. Permettez lui de prendre ses marques afin d’apprécier à sa juste valeur la situation et apporter les réponses qu’il faut » a-t-il exhorté.
Selon le Directeur Général du FPPN, il s’agit du non-payement des créances des policiers retraités par le fonds. « Ces créances portent sur la fin de contrat d’épargne le contrat d’épargne de fin de carrière et le règlement de décès » explique t-il. Sans dévoiler le montant globale de la créance, le DG du Fonds a indiqué que la structure qu’il dirige connaît des tensions de trésorerie ; ce qui fait que le fonds n’arrive pas à faire face à ses engagements réglementés.
« Le déséquilibre de nos comptes est dû à un certains nombres de prise en charge que nous avons pris sur nous d’effectuer en attendant de recevoir l’appui de l’État via la tutelle. Nous avons alors introduit une requête pour concession de service public, afin de mettre à la disposition du Fonds une subvention d’exploitation de sorte que lorsque nous prenons en charge ces cas, il n’y ai plus de remboursement de la part de l’État » relève Jacques Kadjané.
Tout en exprimant qu’il était très sensible à leurs difficultés, il les a invités au calme et à la retenue.
Ce sont environ 3 000 policiers retraités de 2015, 2016, 2017 sont dans cette situation de " longue attente" qu’ils qualifient eux même de ‘’calvaire ".
Cyprien K.
Face à la grogne de ceux-ci qui projetaient une grève pour se faire entendre, Jacques Kadjané, les a invités à faire profil bas.
« Nous avons des échos favorables concernant la résolution de cette situation. Dans l’impatience, nous vous invitons à vous abstenir de toutes sortes de velléités qui pourraient retarder encore la prise de décision en votre faveur. Nous vous invitons à faire confiance au ministre de la sécurité et de la protection civile, Vagondo Diomandé, fraîchement installé. Permettez lui de prendre ses marques afin d’apprécier à sa juste valeur la situation et apporter les réponses qu’il faut » a-t-il exhorté.
Selon le Directeur Général du FPPN, il s’agit du non-payement des créances des policiers retraités par le fonds. « Ces créances portent sur la fin de contrat d’épargne le contrat d’épargne de fin de carrière et le règlement de décès » explique t-il. Sans dévoiler le montant globale de la créance, le DG du Fonds a indiqué que la structure qu’il dirige connaît des tensions de trésorerie ; ce qui fait que le fonds n’arrive pas à faire face à ses engagements réglementés.
« Le déséquilibre de nos comptes est dû à un certains nombres de prise en charge que nous avons pris sur nous d’effectuer en attendant de recevoir l’appui de l’État via la tutelle. Nous avons alors introduit une requête pour concession de service public, afin de mettre à la disposition du Fonds une subvention d’exploitation de sorte que lorsque nous prenons en charge ces cas, il n’y ai plus de remboursement de la part de l’État » relève Jacques Kadjané.
Tout en exprimant qu’il était très sensible à leurs difficultés, il les a invités au calme et à la retenue.
Ce sont environ 3 000 policiers retraités de 2015, 2016, 2017 sont dans cette situation de " longue attente" qu’ils qualifient eux même de ‘’calvaire ".
Cyprien K.
