Abidjan, Le Réseau des acteurs des médias pour les droits de l’Enfant – Côte d’Ivoire (RAMEDE-CI) souhaite l’adoption d’un Plan d’urgence national contre les enlèvements d’enfants.
« Le RAMEDE-CI souhaite l’adoption d’un Plan d’urgence national contre les enlèvements d’enfants qui doit être mis en place avec la participation des forces de sécurité, des médias et des organisations de blogueurs », a exprimé le réseau dans une déclaration transmise mardi, à Abidjan.
Selon le premier vice-président du RAMEDE-CI, Cissé Mamadou, « les viols et les violences sexuelles faites sur les mineurs sont devenus une problématique inquiétante en Côte d’Ivoire, ces dernières années. Leur caractère récurrent et général sur l’ensemble du territoire ivoirien, nécessite qu’une attention particulière leur soit accordée ».
Depuis 2017, chaque année, au moins un cas de viol sur un enfant est signalé dans l’une des régions de la Côte d’Ivoire. En 2019, une jeune fille de 16 ans a été victime d’un viol collectif le 26 septembre à Aboudé, dans la région d’Agboville. Une écolière de 12 ans a été violée par un commerçant de 40 ans à Bouna. Une fillette de trois ans violée par un quidam dans le département de Dimbokro qui malgré le secours et les soins reçus, n’a pas pu survivre des séquelles de cette agression sexuelle. Une écolière de huit ans vient d’être violée à Mankono.
Le RAMEDE CI a, cet effet, demandé aux autorités « une mise en place urgente d’une plateforme de lutte qui prend en compte les développements actuels du fléau pour l’éradication de toute forme de violence faite aux enfants ».
Tout en invitant les populations à plus de vigilance, le réseau remercie le gouvernement pour ses efforts consentis dans la lutte contre les enlèvements, viol des enfants.
(AIP)
eaa/fmo
« Le RAMEDE-CI souhaite l’adoption d’un Plan d’urgence national contre les enlèvements d’enfants qui doit être mis en place avec la participation des forces de sécurité, des médias et des organisations de blogueurs », a exprimé le réseau dans une déclaration transmise mardi, à Abidjan.
Selon le premier vice-président du RAMEDE-CI, Cissé Mamadou, « les viols et les violences sexuelles faites sur les mineurs sont devenus une problématique inquiétante en Côte d’Ivoire, ces dernières années. Leur caractère récurrent et général sur l’ensemble du territoire ivoirien, nécessite qu’une attention particulière leur soit accordée ».
Depuis 2017, chaque année, au moins un cas de viol sur un enfant est signalé dans l’une des régions de la Côte d’Ivoire. En 2019, une jeune fille de 16 ans a été victime d’un viol collectif le 26 septembre à Aboudé, dans la région d’Agboville. Une écolière de 12 ans a été violée par un commerçant de 40 ans à Bouna. Une fillette de trois ans violée par un quidam dans le département de Dimbokro qui malgré le secours et les soins reçus, n’a pas pu survivre des séquelles de cette agression sexuelle. Une écolière de huit ans vient d’être violée à Mankono.
Le RAMEDE CI a, cet effet, demandé aux autorités « une mise en place urgente d’une plateforme de lutte qui prend en compte les développements actuels du fléau pour l’éradication de toute forme de violence faite aux enfants ».
Tout en invitant les populations à plus de vigilance, le réseau remercie le gouvernement pour ses efforts consentis dans la lutte contre les enlèvements, viol des enfants.
(AIP)
eaa/fmo
