Jacqueville- La direction de zone Sud de l’office ivoirien des parcs et réserves (OIPR) a noté une nette amélioration dans la conservation des ressources naturelles des parcs nationaux d’Azagny et îles éhotilé avec des objectifs de performances respectivement de 85 et 78 % au titre de l’année 2019.
Pour le Chargé du Suivi-écologique et du Système d’Information Géographique (SE/SIG) de la Direction de Zone Sud, Lieutenant-Colonel Azani Dédé, les résultats de la troisième phase du suivi-écologique du Parc national d’Azagny a montré une nette amélioration dans la conservation des ressources naturelles du parc, aussi bien au niveau de la faune que de la flore. Il a ajouté que les animaux se font davantage observés sur les transepts et leur habitat est globalement intact.
«Contrairement aux phases de suivi-écologique précédentes, les activités illégales exercées sur le parc a considérablement baissé sur tout le territoire de l’aire protégée. Seuls deux points critiques restent à traiter au nord dudit parc avec les équipes de surveillance », a fait savoir le Lieutenant-Colonel, lors d’un atelier bilan et de planification des activités de l’année 2020, organisé mardi et mercredi, à Grand-Lahou, selon une note transmise à l’AIP.
Ces performances, selon le chargé d’études à la direction de zone Sud de l’OIPR, le lieutenant-colonel Yéo Kassoum, sont le résultat d’une année de travail acharnée de gestion, de Surveillance, d’Aménagement, de Suivi-écologique de recherche, de mesures riveraines et éco-tourisme.
Cette rencontre a vu la participation des populations riveraines des deux aires protégées, de la Fondation pour les parcs et réserves, des organisations non gouvernementales et du corps préfectoral des départements Adiaké, de Grand-Lahou et Jacqueville.
raz/kam
Pour le Chargé du Suivi-écologique et du Système d’Information Géographique (SE/SIG) de la Direction de Zone Sud, Lieutenant-Colonel Azani Dédé, les résultats de la troisième phase du suivi-écologique du Parc national d’Azagny a montré une nette amélioration dans la conservation des ressources naturelles du parc, aussi bien au niveau de la faune que de la flore. Il a ajouté que les animaux se font davantage observés sur les transepts et leur habitat est globalement intact.
«Contrairement aux phases de suivi-écologique précédentes, les activités illégales exercées sur le parc a considérablement baissé sur tout le territoire de l’aire protégée. Seuls deux points critiques restent à traiter au nord dudit parc avec les équipes de surveillance », a fait savoir le Lieutenant-Colonel, lors d’un atelier bilan et de planification des activités de l’année 2020, organisé mardi et mercredi, à Grand-Lahou, selon une note transmise à l’AIP.
Ces performances, selon le chargé d’études à la direction de zone Sud de l’OIPR, le lieutenant-colonel Yéo Kassoum, sont le résultat d’une année de travail acharnée de gestion, de Surveillance, d’Aménagement, de Suivi-écologique de recherche, de mesures riveraines et éco-tourisme.
Cette rencontre a vu la participation des populations riveraines des deux aires protégées, de la Fondation pour les parcs et réserves, des organisations non gouvernementales et du corps préfectoral des départements Adiaké, de Grand-Lahou et Jacqueville.
raz/kam