Tiassalé- Le maire de N’douci, Oboumou Golé Marcellin, a plaidé vendredi pour que soit reversée la part des impôts partagés qui reviennent à sa commune.
Selon le maire Oboumou, la part des impôts partagés (impôt foncier, patente et vignette) qui s'élèvent à 40 millions de FCFA n'ont pas été reversés à la commune au titre de l’année 2019.
Or, cette part, comme les recettes propres et la subvention de l'État, a permis d'élaborer le budget de la commune, a-t-il relevé, ajoutant que la commune a engagé des dépenses en prenant en compte cette part.
Par ailleurs, le maire de N’douci a regretté l'amputation de 25% de la subvention de l'État et le non-reversement de cette part ont occasionné des dettes vis-à-vis des entreprises prestataires.
Toutefois, a-t-il rassuré, l’équipe municipale poursuivra les démarches auprès de la direction générale de l'Administration du territoire et du Développement local pour trouver une solution définitive à cette situation.
La commune de N’douci, de création récente, est à l'épreuve de l'exécution de son tout premier budget. Le conseil municipal a adopté le compte administratif du maire qui est ressorti positif tant au niveau du fonctionnement que des investissements.
KD/kp
Selon le maire Oboumou, la part des impôts partagés (impôt foncier, patente et vignette) qui s'élèvent à 40 millions de FCFA n'ont pas été reversés à la commune au titre de l’année 2019.
Or, cette part, comme les recettes propres et la subvention de l'État, a permis d'élaborer le budget de la commune, a-t-il relevé, ajoutant que la commune a engagé des dépenses en prenant en compte cette part.
Par ailleurs, le maire de N’douci a regretté l'amputation de 25% de la subvention de l'État et le non-reversement de cette part ont occasionné des dettes vis-à-vis des entreprises prestataires.
Toutefois, a-t-il rassuré, l’équipe municipale poursuivra les démarches auprès de la direction générale de l'Administration du territoire et du Développement local pour trouver une solution définitive à cette situation.
La commune de N’douci, de création récente, est à l'épreuve de l'exécution de son tout premier budget. Le conseil municipal a adopté le compte administratif du maire qui est ressorti positif tant au niveau du fonctionnement que des investissements.
KD/kp