Tengrela - Baptisé "le bas-fond congélateur", un site particulier de Tengrela polarise l'attention de tous en période d'harmattan pour sa très grande baisse de la température, a constaté l'AIP.
Situé au quartier Sénoufo, à quelques mètres de l'hôpital général et à 500 mètres du lycée, "le bas-fond" se distingue par sa forte concentration en froid, ce qui lui confère l'appellation de "congélateur".
Chaque matin, des élèves, enseignants et autres riverains contraints de le traverser en font l'amer constat. "Le bas-fond est un tremplin sinon je n'aurais jamais accepté de le traverser tôt le matin pour me voir trembler sur ma moto malgré le blouson et les gants. Je me demande comment ils font, ceux des alentours", a confié un enseignant à l'AIP.
Une élève de Troisième, Konaté Ramatou, se plaint du froid qui est trop fort au bas-fond. "Quand on quitte la ville, on a déjà froid mais au bas-fond, le froid devient trop fort et c'est difficile de bien marcher mais on est obligé d'y passer parce qu'il n'y a pas d'autre passage", a-t-i dit.
Un professeur d'histoire et géographie du lycée explique ce phénomène par "un sol hydromorphe" et la présence d'eau qui constituent "des conservateurs d'humidité".
(AIP)
kkc/aaa/cmas
Situé au quartier Sénoufo, à quelques mètres de l'hôpital général et à 500 mètres du lycée, "le bas-fond" se distingue par sa forte concentration en froid, ce qui lui confère l'appellation de "congélateur".
Chaque matin, des élèves, enseignants et autres riverains contraints de le traverser en font l'amer constat. "Le bas-fond est un tremplin sinon je n'aurais jamais accepté de le traverser tôt le matin pour me voir trembler sur ma moto malgré le blouson et les gants. Je me demande comment ils font, ceux des alentours", a confié un enseignant à l'AIP.
Une élève de Troisième, Konaté Ramatou, se plaint du froid qui est trop fort au bas-fond. "Quand on quitte la ville, on a déjà froid mais au bas-fond, le froid devient trop fort et c'est difficile de bien marcher mais on est obligé d'y passer parce qu'il n'y a pas d'autre passage", a-t-i dit.
Un professeur d'histoire et géographie du lycée explique ce phénomène par "un sol hydromorphe" et la présence d'eau qui constituent "des conservateurs d'humidité".
(AIP)
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