Agboville, Le préfet de région, Sihindou Coulibaly a procédé mercredi à l’installation de la Cellule Civilo-Militaire(CCM) du département d’Agboville dont l’objectif est de renforcer la cohésion et la paix, voire la sécurité au niveau local.
Cette cellule qui comprend aussi bien des membres de la société civile que des éléments militaires et paramilitaires, vient remplacer le Comité civilo-militaire existant dont le champ d’action se limitait à la seule commune d’Agboville.
La nouvelle CCM vise donc à amener ses différentes composantes que sont les Forces de défense et de Sécurité(FDS) et la population à entrer dans un dialogue socio-sécuritaire, par l’apport d’échanges et d’informations crédibles, pour prévenir d’éventuels conflits susceptibles de menacer la quiétude des populations.
Pour ce faire, le préfet Sihindou a indiqué dans un exposé liminaire que ces structures sont nées de la Reforme du Secteur de la Sécurité(RSS), voulue par le PNUD et l’Etat ivoirien au sortir de la crise postélectorale.
En vue d’instaurer un système de sécurité efficace et responsable où l’Etat et les citoyens conjuguent leurs efforts dans le plein respect des droits de l’homme et de l’Etat de droit.
En termes d’objectif à atteindre, la RSS aux dires du préfet envisageait entre autres le rétablissement du lien armée-nation par la restauration de la confiance entre les forces de sécurité et la population.
Elle a donc eu pour effet selon lui, de contribuer à la reconstruction du pays, à l’opération DDR(Désarmement, démobilisation, réinsertion), à la lutte contre la prolifération des armes, au renforcement de l’Etat de droit etc.
Ainsi, l’appui aux FDS par la population, à travers ses démembrements que sont les chefs religieux, les chefs coutumiers, les leaders communautaires, les associations de femmes et de jeunesse…, ne peut, a-t-il soutenu, que renforcer la collaboration entre ces deux entités pour l’atteinte de la paix et de la cohésion sociale dans une gouvernance locale.
Ce, dans le cadre de la nouvelle Cellule civilo-militaire(CCM) , dirigée par Ossohou Aimé qui avait été également président de l’ex-Comité civilo-militaire.
(AIP)
yy/ask
Cette cellule qui comprend aussi bien des membres de la société civile que des éléments militaires et paramilitaires, vient remplacer le Comité civilo-militaire existant dont le champ d’action se limitait à la seule commune d’Agboville.
La nouvelle CCM vise donc à amener ses différentes composantes que sont les Forces de défense et de Sécurité(FDS) et la population à entrer dans un dialogue socio-sécuritaire, par l’apport d’échanges et d’informations crédibles, pour prévenir d’éventuels conflits susceptibles de menacer la quiétude des populations.
Pour ce faire, le préfet Sihindou a indiqué dans un exposé liminaire que ces structures sont nées de la Reforme du Secteur de la Sécurité(RSS), voulue par le PNUD et l’Etat ivoirien au sortir de la crise postélectorale.
En vue d’instaurer un système de sécurité efficace et responsable où l’Etat et les citoyens conjuguent leurs efforts dans le plein respect des droits de l’homme et de l’Etat de droit.
En termes d’objectif à atteindre, la RSS aux dires du préfet envisageait entre autres le rétablissement du lien armée-nation par la restauration de la confiance entre les forces de sécurité et la population.
Elle a donc eu pour effet selon lui, de contribuer à la reconstruction du pays, à l’opération DDR(Désarmement, démobilisation, réinsertion), à la lutte contre la prolifération des armes, au renforcement de l’Etat de droit etc.
Ainsi, l’appui aux FDS par la population, à travers ses démembrements que sont les chefs religieux, les chefs coutumiers, les leaders communautaires, les associations de femmes et de jeunesse…, ne peut, a-t-il soutenu, que renforcer la collaboration entre ces deux entités pour l’atteinte de la paix et de la cohésion sociale dans une gouvernance locale.
Ce, dans le cadre de la nouvelle Cellule civilo-militaire(CCM) , dirigée par Ossohou Aimé qui avait été également président de l’ex-Comité civilo-militaire.
(AIP)
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