Les populations de plusieurs villages de Daloa ont appelé, samedi, lors d'une tournée de sensibilisation du directeur régional de la Promotion de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes, M. Beugré Dominique, l'Etat ivoirien au secours, affirmant craignant la faim dans leurs localités en raison de l'arrêt de plusieurs activités à cause des mesures préventives contre le coronavirus.
"Nous vivons au jour le jour. On vendais banane braisée au corridor de Daloa. Le peu qu'on gagnait nous permettait de subvenir aux besoins de nos familles. Mais depuis la crise du coronavirus, nous sommes à la maison y a plus marché parce que les cars ne passent plus. depuis lors nous sommes à la maison. Mais ce que nous craignons, c'est que si le Président et son gouvernement ne font rien pour nous, la faim va nous tuer avant l'arrivée du coronavirus", a affirmé une représentante des femmes, soutenu dans ses propos par les jeunes de plusieurs villages.
Balouzon Sapia, Gogoguhé, Barouan sont entre autres les villages parcourus par le directeur régional de la jeunesse et de l'emploi jeune.
Dans les échanges avec les population, plusieurs intervenants ont affirmé suivre les prescriptions et sont restés chez eux à la maison. Vendeur ambulants, mécaniciens, ouvriers, commerçants, disent craindre une crise de famine, vue qu'ils n'ont plus de ressources à cause de la crise du coronavirus.
Depuis l'avènement du coronavirus, les corridors ont perdus leur ambiance habituelle marquée par le fourmillement des vendeuses à la criée, le ronronnement des cars chargés de voyageurs et les sifflements des forces de l'ordre postées aux entrées et sorties de la ville de Daloa. Ces commerçantes sont aujourd'hui à la maison sans revenu pour prendre en charge leur famille, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/tm
"Nous vivons au jour le jour. On vendais banane braisée au corridor de Daloa. Le peu qu'on gagnait nous permettait de subvenir aux besoins de nos familles. Mais depuis la crise du coronavirus, nous sommes à la maison y a plus marché parce que les cars ne passent plus. depuis lors nous sommes à la maison. Mais ce que nous craignons, c'est que si le Président et son gouvernement ne font rien pour nous, la faim va nous tuer avant l'arrivée du coronavirus", a affirmé une représentante des femmes, soutenu dans ses propos par les jeunes de plusieurs villages.
Balouzon Sapia, Gogoguhé, Barouan sont entre autres les villages parcourus par le directeur régional de la jeunesse et de l'emploi jeune.
Dans les échanges avec les population, plusieurs intervenants ont affirmé suivre les prescriptions et sont restés chez eux à la maison. Vendeur ambulants, mécaniciens, ouvriers, commerçants, disent craindre une crise de famine, vue qu'ils n'ont plus de ressources à cause de la crise du coronavirus.
Depuis l'avènement du coronavirus, les corridors ont perdus leur ambiance habituelle marquée par le fourmillement des vendeuses à la criée, le ronronnement des cars chargés de voyageurs et les sifflements des forces de l'ordre postées aux entrées et sorties de la ville de Daloa. Ces commerçantes sont aujourd'hui à la maison sans revenu pour prendre en charge leur famille, rappelle-t-on.
(AIP)
ss/tm