Issia - Un éléphant détruit des maisons et ravage les plantations, depuis trois mois, dans une dizaine de villages de la sous-préfecture de Boguédia située à 16 km sur l’axe Issia-Daloa, a appris l'AIP.
Ce mastodonte sème la peur et la psychose dans ces localités, en entraînant un déplacement massif des populations, a-t-on noté. Selon les habitants des villages de Biga et de Labazuzua, l'éléphant est à sa deuxième apparition dans leur zone.
Lors d'une visite dans ces villages touchés par cette brutalité animale, le préfet d’Issia, Tra Bi Koué Jean Brice, a apporté le réconfort de l'Etat. « Je suis venu vous apporter le réconfort du ministre des eaux et forêts et constater les dégâts causés par l’éléphant dans le cadre d’un vrai conflit faune-homme », a-t-il dit, le 10 juin.
Pour le préfet d'Issia, seuls des spécialistes sud-africains peuvent capturer l’animal. Du fait de la pandémie de la Covid-19, leur venue est compromise pour l'heure.
"La seule option qui s’offre aux agents des eaux et forêts est de repousser par des techniques appropriées l’éléphant vers des zones de réserve", a-t-il fait savoir.
Le préfet Tra Bi Koué a demandé le recensement des logements détruits et des plantations ravagées par les affres de cet mammifère.
bop/nmfa/fmo
Ce mastodonte sème la peur et la psychose dans ces localités, en entraînant un déplacement massif des populations, a-t-on noté. Selon les habitants des villages de Biga et de Labazuzua, l'éléphant est à sa deuxième apparition dans leur zone.
Lors d'une visite dans ces villages touchés par cette brutalité animale, le préfet d’Issia, Tra Bi Koué Jean Brice, a apporté le réconfort de l'Etat. « Je suis venu vous apporter le réconfort du ministre des eaux et forêts et constater les dégâts causés par l’éléphant dans le cadre d’un vrai conflit faune-homme », a-t-il dit, le 10 juin.
Pour le préfet d'Issia, seuls des spécialistes sud-africains peuvent capturer l’animal. Du fait de la pandémie de la Covid-19, leur venue est compromise pour l'heure.
"La seule option qui s’offre aux agents des eaux et forêts est de repousser par des techniques appropriées l’éléphant vers des zones de réserve", a-t-il fait savoir.
Le préfet Tra Bi Koué a demandé le recensement des logements détruits et des plantations ravagées par les affres de cet mammifère.
bop/nmfa/fmo