Katiola– La directrice régionale de l’Emploi et de la protection sociale, Amoikon Cynthia, a dénoncé les nombreux cas de violations des droits de l’enfant dans la région du Hambol.
S’exprimant lors de la célébration de la journée internationale de l’enfant africain ayant pour thème «Respectons les droits des enfants, afin de mieux les protéger en cette période de COVID-19 » tenue, jeudi, au centre social de Katiola, elle a révélé que dans le cadre de ses activités, le centre social a enregistré de nombreux cas de violations des droits de l’enfant dont 36 cas de déni de ressources.
Le centre a enregistré aussi 53 cas d’enfants non déclarés, 31 cas de négligence, 13 cas de grossesses précoces, deux cas d’excision et neuf cas de violences sexuelles.
Face à cette situation, a-t-elle indiqué, le centre social a décidé avec l’appui technique et financier de Save the children, de célébrer dans sa localité, la journée internationale de l’enfant africain avec les orphelinats et des enfants talibés en vue de respecter leurs droits.
Pour continuer la sensibilisation de proximité des groupements d’enfants de protection, des groupements d’enfants, des clubs d’enfants sont installés dans les quartiers afin de dénoncer ces cas de violations, signale-t-on.
dg/kkf/kam
S’exprimant lors de la célébration de la journée internationale de l’enfant africain ayant pour thème «Respectons les droits des enfants, afin de mieux les protéger en cette période de COVID-19 » tenue, jeudi, au centre social de Katiola, elle a révélé que dans le cadre de ses activités, le centre social a enregistré de nombreux cas de violations des droits de l’enfant dont 36 cas de déni de ressources.
Le centre a enregistré aussi 53 cas d’enfants non déclarés, 31 cas de négligence, 13 cas de grossesses précoces, deux cas d’excision et neuf cas de violences sexuelles.
Face à cette situation, a-t-elle indiqué, le centre social a décidé avec l’appui technique et financier de Save the children, de célébrer dans sa localité, la journée internationale de l’enfant africain avec les orphelinats et des enfants talibés en vue de respecter leurs droits.
Pour continuer la sensibilisation de proximité des groupements d’enfants de protection, des groupements d’enfants, des clubs d’enfants sont installés dans les quartiers afin de dénoncer ces cas de violations, signale-t-on.
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