Du nouveau dans le secteur de l’orientation scolaire. La première rencontre virtuelle de l’orientation et des métiers (Saloom), à l’intention des élèves, étudiants, parents, des grandes écoles et universités, s’ouvre à partir d’Abidjan du 17 au 23 août 2020.
Selon , Jules Gouhan, promoteur de l’événement , c’est une manière pour son partenaire et lui de « soutenir » l’Etat, l’Education, l’Économie du pays et sa jeunesse.
Il a co-animé avec le Manager général de Columbus Education, M. Assémien V. Stanislas, une conférence de presse le samedi 25 juillet 2020 à Seen Hôtel, à Abidjan-Plateau
« Nous sommes en de très bons termes avec le ministère de l’Education qui dépêchera des conseillers d’orientation pour animer une conférence afin de conseiller nos jeunes frères par visioconférence une fois la plate-forme ouverte. Nous travaillons en partenariat avec le ministère, nous aurons des vidéos du personnel technique du ministère, de la Direction des bourses et de l’orientation. Les parents doivent être rassurés à ce propos… », a-t-il argumenté.
Covid-19 oblige, il n’est pas question de présence physique, de distribution de supports (flyers, plaquettes, etc.), ni de stand matériels. Des conseillers d’orientation commis par les établissements seront disponibles de 8h à 18h sur la plate-forme www.saloom.ci qui une fois ouvert pourront renseigner en temps réel les bénéficiaires en quête d’un établissement de leur choix.
Selon lui, « l’utilisation de la plate-forme est très économique parce qu’il n’y a pas de frais sinon la connexion pour seulement 200 Fcfa à partir d’un portable ou une tablette ou même un ordinateur pour suivre en 2D les conseillers… »
M. Assémien Stanislas explique qu’il est question d’éviter aux jeunes de s’orienter de façon hasardeuse, par imitation ou en désespoir de cause.
Sans orientation, conseils et suivi de leurs ambitions, fait-il observer, ce serait la « catastrophe » pour ces jeunes en quête de points de chute pour de meilleures études.
Alors ce qui va se passer à l’occasion de ce salon virtuel est simple, tant il n’y aura de stands, salles, d’hôtesses, de flyers, d’affiches et de présences physiques, selon lui.
A partir d’une tablette, un téléphone portable, un ordinaire, le visiteur entre sur le ‘’marché ‘’, en cliquant sur un onglet qui le dirige vers un établissement de son choix. Sont disponibles dans chaque stand, un conseiller, de la documentation, des vidéos ; aussi est-il possible d’échanger chatter avec le conseiller.
DA
Selon , Jules Gouhan, promoteur de l’événement , c’est une manière pour son partenaire et lui de « soutenir » l’Etat, l’Education, l’Économie du pays et sa jeunesse.
Il a co-animé avec le Manager général de Columbus Education, M. Assémien V. Stanislas, une conférence de presse le samedi 25 juillet 2020 à Seen Hôtel, à Abidjan-Plateau
« Nous sommes en de très bons termes avec le ministère de l’Education qui dépêchera des conseillers d’orientation pour animer une conférence afin de conseiller nos jeunes frères par visioconférence une fois la plate-forme ouverte. Nous travaillons en partenariat avec le ministère, nous aurons des vidéos du personnel technique du ministère, de la Direction des bourses et de l’orientation. Les parents doivent être rassurés à ce propos… », a-t-il argumenté.
Covid-19 oblige, il n’est pas question de présence physique, de distribution de supports (flyers, plaquettes, etc.), ni de stand matériels. Des conseillers d’orientation commis par les établissements seront disponibles de 8h à 18h sur la plate-forme www.saloom.ci qui une fois ouvert pourront renseigner en temps réel les bénéficiaires en quête d’un établissement de leur choix.
Selon lui, « l’utilisation de la plate-forme est très économique parce qu’il n’y a pas de frais sinon la connexion pour seulement 200 Fcfa à partir d’un portable ou une tablette ou même un ordinateur pour suivre en 2D les conseillers… »
M. Assémien Stanislas explique qu’il est question d’éviter aux jeunes de s’orienter de façon hasardeuse, par imitation ou en désespoir de cause.
Sans orientation, conseils et suivi de leurs ambitions, fait-il observer, ce serait la « catastrophe » pour ces jeunes en quête de points de chute pour de meilleures études.
Alors ce qui va se passer à l’occasion de ce salon virtuel est simple, tant il n’y aura de stands, salles, d’hôtesses, de flyers, d’affiches et de présences physiques, selon lui.
A partir d’une tablette, un téléphone portable, un ordinaire, le visiteur entre sur le ‘’marché ‘’, en cliquant sur un onglet qui le dirige vers un établissement de son choix. Sont disponibles dans chaque stand, un conseiller, de la documentation, des vidéos ; aussi est-il possible d’échanger chatter avec le conseiller.
DA
