« Plan opérationnel de mise en œuvre du projet d'assainissement du secteur du marketing de réseau en Côte d'Ivoire (Proamar-ci) » tel est le thème autour duquel se sont réunis les acteurs du milieu du Marketing de réseau le mardi 11 août dernier, à Abidjan-Cocody pour présenter un projet d'assainissement de leur secteur.
Fofana Amaral , consultant en marketing de réseau a dans son intervention évoqué les raisons de ce projet qui consistent à proposer une solution institutionnelle durable pour la résolution des différents problèmes existants et anticiper également sur les éventuels problèmes futurs qui pourraient apparaître dans l'évolution du secteur du marketing de réseau en Côte d’Ivoire.
Selon lui, c'est en 2006 que des cabinets financiers sont apparus avec des promesses de retour sur investissements de 200% et plus, ce, grâce à des placements financiers qu’ils prétendaient faire sur les Bourses en Europe et aux Etats-Unis. À en croire Fofana Amaral, il s’agissait d’un système pyramidal qui avait été monté sous la couverture de placements boursiers. « Les premiers souscripteurs avaient effectivement perçu les retours sur investissements promis, mais le système a atteint rapidement son seuil de saturation et s'est écroulé tout seul avec des dizaines de milliards escroqués aux souscripteurs », a-t-il regretté.
Après la décision du gouvernement de mettre fin aux activités desdits cabinets, Amaral Fofana a révélé que c’est peu après que des entreprises d’agro-business sont apparues courant 2009, avec la création de MONHEVEA.COM et de RESPIIDIA World Group, pour atteindre leur point culminant en 2016 avec la naissance de seize (16) entreprises supplémentaires. Faisant courir des risques aux souscripteurs avec un système pyramidal de type Ponzi, les autorités ivoiriennes se sont engagées à mettre fin aux activités de ces entreprises d’agro-business soldé par des poursuites judiciaires contre leurs responsables. « Le discrédit et la suspicion se sont donc portés encore une fois sur toutes les entreprises de marketing de réseau », a-t-il a fait savoir.
Toutefois, il a reconnu que le développement rapide des entreprises de marketing de réseau en Côte d’Ivoire a entraîné quelques dérives de la part de certains distributeurs indépendants véreux qui usent de méthodes illégales pour mener leurs activités. Au regard de tous ces écueils, la Proamar-ci, aux dires de l'expert en marketing de réseaux entend fédérer toutes les associations du secteur afin de baliser le terrain pour la bonne marche de leur activité. Le projet, à l’en croire coûtera plus de 260 millions de FCFA.
Cyprien K.
Fofana Amaral , consultant en marketing de réseau a dans son intervention évoqué les raisons de ce projet qui consistent à proposer une solution institutionnelle durable pour la résolution des différents problèmes existants et anticiper également sur les éventuels problèmes futurs qui pourraient apparaître dans l'évolution du secteur du marketing de réseau en Côte d’Ivoire.
Selon lui, c'est en 2006 que des cabinets financiers sont apparus avec des promesses de retour sur investissements de 200% et plus, ce, grâce à des placements financiers qu’ils prétendaient faire sur les Bourses en Europe et aux Etats-Unis. À en croire Fofana Amaral, il s’agissait d’un système pyramidal qui avait été monté sous la couverture de placements boursiers. « Les premiers souscripteurs avaient effectivement perçu les retours sur investissements promis, mais le système a atteint rapidement son seuil de saturation et s'est écroulé tout seul avec des dizaines de milliards escroqués aux souscripteurs », a-t-il regretté.
Après la décision du gouvernement de mettre fin aux activités desdits cabinets, Amaral Fofana a révélé que c’est peu après que des entreprises d’agro-business sont apparues courant 2009, avec la création de MONHEVEA.COM et de RESPIIDIA World Group, pour atteindre leur point culminant en 2016 avec la naissance de seize (16) entreprises supplémentaires. Faisant courir des risques aux souscripteurs avec un système pyramidal de type Ponzi, les autorités ivoiriennes se sont engagées à mettre fin aux activités de ces entreprises d’agro-business soldé par des poursuites judiciaires contre leurs responsables. « Le discrédit et la suspicion se sont donc portés encore une fois sur toutes les entreprises de marketing de réseau », a-t-il a fait savoir.
Toutefois, il a reconnu que le développement rapide des entreprises de marketing de réseau en Côte d’Ivoire a entraîné quelques dérives de la part de certains distributeurs indépendants véreux qui usent de méthodes illégales pour mener leurs activités. Au regard de tous ces écueils, la Proamar-ci, aux dires de l'expert en marketing de réseaux entend fédérer toutes les associations du secteur afin de baliser le terrain pour la bonne marche de leur activité. Le projet, à l’en croire coûtera plus de 260 millions de FCFA.
Cyprien K.
