Oumé- Une miellerie, d’une capacité de 11 T, est désormais fonctionnelle à Kouaméfla, à 45 km d’Oumé, dans le cadre d’un projet de modernisation et de développement de l’apiculture financé par l’ONG « To became self-depend to abandon poverty » qui signifie « Devenir autonome pour abandonner la pauvreté ».
Grâce à cette ONG, les apiculteurs peuvent désormais stocker et conditionner leurs productions de miel venant de Kouaméfla et des nombreux campements où ceux-ci font des pratiques archaïques de production du miel après une formation qu’elle leur a dispensée.
Les apiculteurs Kan Jules, Agnessé Bolati, Sanogo Moussa et Siaka Koné ont témoigné que « l’apiculture telle qu’ils la pratiquent désormais est rentable ». A preuve, ils parviennent à subvenir à leurs besoins dont la scolarisation de leurs enfants, les soins de santé et autres.
Le dernier apiculteur s’est même construit une maison grâce aux revenus tirés de la production du miel.
Le responsable de l’ONG, Yoboué Kadjo, a expliqué que son organisation accorde une importance particulière à ce genre de petits projets rentables qui contribuent à la protection de l’environnement et sortent les populations rurales de la pauvreté par une amélioration de leurs revenus.
Il a souhaité que les apiculteurs de Kouamefla deviennent des modèles à citer en exemple ailleurs. La coordinatrice de « Devenir autonome pour abandonner la pauvreté », dame Kpalou Elise a exhorté les apiculteurs à accroître leur nombre et à produire 20, voire 30 T de miel contre 11, leur taux de production actuelle.
« Notre ambition est de faire de Kouamefla, la boucle du miel », a résumé Mme Kpalou qui a indiqué que ce sont 61 apiculteurs que l’ONG a contribué à former à Kouamefla.
Le président de la miellerie de Kouamefla, Diby Dole, a salué la formation, l’équipement et le soutien financier dont ils ont bénéficié depuis 2016 et qui a permis la production en quantité et en qualité pour l’ouverture de cette entreprise.
dl/aaa/kp
Grâce à cette ONG, les apiculteurs peuvent désormais stocker et conditionner leurs productions de miel venant de Kouaméfla et des nombreux campements où ceux-ci font des pratiques archaïques de production du miel après une formation qu’elle leur a dispensée.
Les apiculteurs Kan Jules, Agnessé Bolati, Sanogo Moussa et Siaka Koné ont témoigné que « l’apiculture telle qu’ils la pratiquent désormais est rentable ». A preuve, ils parviennent à subvenir à leurs besoins dont la scolarisation de leurs enfants, les soins de santé et autres.
Le dernier apiculteur s’est même construit une maison grâce aux revenus tirés de la production du miel.
Le responsable de l’ONG, Yoboué Kadjo, a expliqué que son organisation accorde une importance particulière à ce genre de petits projets rentables qui contribuent à la protection de l’environnement et sortent les populations rurales de la pauvreté par une amélioration de leurs revenus.
Il a souhaité que les apiculteurs de Kouamefla deviennent des modèles à citer en exemple ailleurs. La coordinatrice de « Devenir autonome pour abandonner la pauvreté », dame Kpalou Elise a exhorté les apiculteurs à accroître leur nombre et à produire 20, voire 30 T de miel contre 11, leur taux de production actuelle.
« Notre ambition est de faire de Kouamefla, la boucle du miel », a résumé Mme Kpalou qui a indiqué que ce sont 61 apiculteurs que l’ONG a contribué à former à Kouamefla.
Le président de la miellerie de Kouamefla, Diby Dole, a salué la formation, l’équipement et le soutien financier dont ils ont bénéficié depuis 2016 et qui a permis la production en quantité et en qualité pour l’ouverture de cette entreprise.
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