Yamoussoukro – Les acteurs de supervision et de coordination du projet multisectoriel de nutrition et de développement de la petite enfance notamment les membres du corps préfectoral sont en atelier depuis lundi 31 août 2020 à Yamoussoukro en vue de valider des manuels de formation des plateformes de coordination et le rapport provisoire de l’étude sur les rôles et normes de genre dans la lutte pour la nutrition et le développement de la petite enfance.
Au cours de cette rencontre qui va durer cinq jours, les parties prenantes vont échanger sur le contenu des manuels tout en les enrichissant afin de faciliter l’exécution et la supervision du projet.
Ce projet est une émanation du gouvernement pour adresser les questions de nutrition et de développement de la petite enfance parce que des études ont montré que la nutrition et le développement de la petite enfance sont des problèmes de développement.
Entré dans sa phase active en 2018, ce projet est prévu pour s’arrêter en 2023 et va mobiliser 32 milliards f cfa dont 28 milliards de la coopération Britannique.
Selon le chef de projet, Yao Kouamé François « un diagnostic de base a été mené et ce diagnostic a fait état de ce qu'il y a certaines régions pour lesquelles l’état nutritionnel est au beau fixe. Par contre, il existe 14 régions où la prévalence à la malnutrition était à un stade critique ou à un stade intermédiaire nécessitant une intervention. Ce sont ces régions qui ont constitué la base des travaux du projet ».
gso/ask
Au cours de cette rencontre qui va durer cinq jours, les parties prenantes vont échanger sur le contenu des manuels tout en les enrichissant afin de faciliter l’exécution et la supervision du projet.
Ce projet est une émanation du gouvernement pour adresser les questions de nutrition et de développement de la petite enfance parce que des études ont montré que la nutrition et le développement de la petite enfance sont des problèmes de développement.
Entré dans sa phase active en 2018, ce projet est prévu pour s’arrêter en 2023 et va mobiliser 32 milliards f cfa dont 28 milliards de la coopération Britannique.
Selon le chef de projet, Yao Kouamé François « un diagnostic de base a été mené et ce diagnostic a fait état de ce qu'il y a certaines régions pour lesquelles l’état nutritionnel est au beau fixe. Par contre, il existe 14 régions où la prévalence à la malnutrition était à un stade critique ou à un stade intermédiaire nécessitant une intervention. Ce sont ces régions qui ont constitué la base des travaux du projet ».
gso/ask
