Le pasteur principal de l’église de l’Assemblée chrétienne de Bondoukou, Gnangui Josué a invité les partis politiques au dialogue afin de maintenir une paix durable en Côte d’Ivoire, lors d’un point presse, mardi 10 novembre 2020, à Bondoukou (Nord-est, région du Gontougo).
Selon le pasteur Gnagui, les violences constatées dans plusieurs localités du pays cesseront si les politiciens se mettent autour d’une table pour trouver ensemble des solutions à la crise postélectorale que vit la Côte d’Ivoire.
Pour l’homme de Dieu il est temps que la « malédiction politique » qui entraine l’humiliation d’un Président de la République en fonction prenne immédiatement fin. Il a invité le Président Alassane Ouattara à continuer de tendre la main à l’opposition pour apaiser les tensions au sein des populations.
« Que le président continue de se mettre dans une position d’humilité et trouve un accord de paix avec l’opposition qui permettra à la population de vivre en paix pendant plusieurs années », a-t-il fait savoir, insistant pour que cet accord de paix prenne aussitôt effet.
L’élection présidentielle tenue le 31 octobre qui a enregistré la victoire du Président sortant, Alassane Ouattara, a été émaillée d’actes de violence entrainant des morts dans plusieurs localités du pays.
(AIP)
zaar/ask
Selon le pasteur Gnagui, les violences constatées dans plusieurs localités du pays cesseront si les politiciens se mettent autour d’une table pour trouver ensemble des solutions à la crise postélectorale que vit la Côte d’Ivoire.
Pour l’homme de Dieu il est temps que la « malédiction politique » qui entraine l’humiliation d’un Président de la République en fonction prenne immédiatement fin. Il a invité le Président Alassane Ouattara à continuer de tendre la main à l’opposition pour apaiser les tensions au sein des populations.
« Que le président continue de se mettre dans une position d’humilité et trouve un accord de paix avec l’opposition qui permettra à la population de vivre en paix pendant plusieurs années », a-t-il fait savoir, insistant pour que cet accord de paix prenne aussitôt effet.
L’élection présidentielle tenue le 31 octobre qui a enregistré la victoire du Président sortant, Alassane Ouattara, a été émaillée d’actes de violence entrainant des morts dans plusieurs localités du pays.
(AIP)
zaar/ask
