Bouaké- La journée internationale du souvenir trans ou Trans’ Days of Remembrance (TDoR) a été célébrée vendredi 20 novembre 2020 par les membres de la communauté LGBTI de Bouaké à l’initiative de l’ONG Secours Social qui milite depuis plusieurs années pour une société zéro discrimination.
Cette célébration a été essentiellement marquée par une procession des manifestants avec des bougies suivie d’un moment de recueillement de ceux-ci devant une gerbe de fleurs en hommage aux victimes de violences transphobes dans le monde.
« Il s’agit pour nous, en cette journée du souvenir, de rendre hommage à certains de nos pairs qui ont perdu la vie à cause de leur orientation sexuelle », a déclaré Sanogo Fa, membre de la communauté LGBTI de Bouaké.
Ce dernier en appelle à la prise de conscience et à la compréhension de tous ceux qui s’adonnent à des actes de violences transphobes. « Que l’humanité comprenne que les transgenres on également le droit de vivre. Que les parents qui rejettent ou culpabilisent leur enfant parce qu’il est LGBTI ou transgenre se remettent eux-mêmes en cause parce que leur enfant demeurera toujours leur enfant. Au lieu donc de l’abandonner dans la rue, ils feraient mieux de lui inculquer certaines valeurs pour que malgré son orientation sexuelle, il ne sombre pas dans la débauche », a-t-il recommandé.
La journée internationale du souvenir trans, célébrée le 20 novembre, est un évènement destiné à commémorer la mémoire des victimes de violences transphobes partout dans le monde, en l’honneur de Rita Hester, une femme transgenre afro-américaine assassinée en 1998 à Boston aux Etats-Unis.
rkk
Cette célébration a été essentiellement marquée par une procession des manifestants avec des bougies suivie d’un moment de recueillement de ceux-ci devant une gerbe de fleurs en hommage aux victimes de violences transphobes dans le monde.
« Il s’agit pour nous, en cette journée du souvenir, de rendre hommage à certains de nos pairs qui ont perdu la vie à cause de leur orientation sexuelle », a déclaré Sanogo Fa, membre de la communauté LGBTI de Bouaké.
Ce dernier en appelle à la prise de conscience et à la compréhension de tous ceux qui s’adonnent à des actes de violences transphobes. « Que l’humanité comprenne que les transgenres on également le droit de vivre. Que les parents qui rejettent ou culpabilisent leur enfant parce qu’il est LGBTI ou transgenre se remettent eux-mêmes en cause parce que leur enfant demeurera toujours leur enfant. Au lieu donc de l’abandonner dans la rue, ils feraient mieux de lui inculquer certaines valeurs pour que malgré son orientation sexuelle, il ne sombre pas dans la débauche », a-t-il recommandé.
La journée internationale du souvenir trans, célébrée le 20 novembre, est un évènement destiné à commémorer la mémoire des victimes de violences transphobes partout dans le monde, en l’honneur de Rita Hester, une femme transgenre afro-américaine assassinée en 1998 à Boston aux Etats-Unis.
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