Le village d’Adoukoffikro, situé à 5 km sur l’axe Abengourou-Niablé (Est, région de l’Indénié-Djuablin) est un modèle de cohésion sociale, incarnée par son chef Nanan Adou koffi II, qui a accepté de livrer jeudi 03 décembre 2020, le secret de leur entente et stabilité qui ont fait échouer toutes les tentatives pour basculer le petit hameau dans la violence lors de la présidentielle du 31 octobre 2020.
Un chef, soutient Nanan Adou Koffi II, doit savoir gouverner et créer l’union et l’amour et non être source de division, ni tenir des propos belliqueux qui n’arrangent pas les populations.
« On ne doit pas être le chef d’une communauté, mais le chef de tout le monde. A ce titre, j’ai demandé que nous soyons un », a-t-il fait savoir.
Nanan Adou Koffi II a ajouté qu’un chef ne doit pas être celui qui écrase les plus petits. « L’humilité et la sagesse doivent nous habiter ainsi les communautés s’entendent parfaitement », a conseillé le sage.
La communication permanente et la tenue de réunion sont le socle de notre solidité qui brise les rumeurs et éloigne les conflits, a confié le chef d’Adoukoffikro. « J’ai demandé que tout informateur sur une éventuelle attaque soit présenté afin de cerner les motivations des colporteurs des rumeurs qui peuvent créer des graves conflits communautaires », a-t-il préconisé.
Ces précautions et dispositions, selon Nanan Adou Koffi II, ont augmenté le capital confiance de la population envers son chef et entre les populations elles-mêmes. « Les messages d’union véhiculés ont fini par convaincre la population qui a rejeté toute division et opté pour la réconciliation et la paix gage de notre développement », a affirmé le chef Adou Koff II.
A Adoukoffikro, les rencontres d’échange se poursuivent pour exhorter particulièrement les jeunes à suivre le chemin de la paix, gage de notre développement et du bien-être des populations.
(AIP)
Un chef, soutient Nanan Adou Koffi II, doit savoir gouverner et créer l’union et l’amour et non être source de division, ni tenir des propos belliqueux qui n’arrangent pas les populations.
« On ne doit pas être le chef d’une communauté, mais le chef de tout le monde. A ce titre, j’ai demandé que nous soyons un », a-t-il fait savoir.
Nanan Adou Koffi II a ajouté qu’un chef ne doit pas être celui qui écrase les plus petits. « L’humilité et la sagesse doivent nous habiter ainsi les communautés s’entendent parfaitement », a conseillé le sage.
La communication permanente et la tenue de réunion sont le socle de notre solidité qui brise les rumeurs et éloigne les conflits, a confié le chef d’Adoukoffikro. « J’ai demandé que tout informateur sur une éventuelle attaque soit présenté afin de cerner les motivations des colporteurs des rumeurs qui peuvent créer des graves conflits communautaires », a-t-il préconisé.
Ces précautions et dispositions, selon Nanan Adou Koffi II, ont augmenté le capital confiance de la population envers son chef et entre les populations elles-mêmes. « Les messages d’union véhiculés ont fini par convaincre la population qui a rejeté toute division et opté pour la réconciliation et la paix gage de notre développement », a affirmé le chef Adou Koff II.
A Adoukoffikro, les rencontres d’échange se poursuivent pour exhorter particulièrement les jeunes à suivre le chemin de la paix, gage de notre développement et du bien-être des populations.
(AIP)
