Ferkessédougou - Le ministre de l'Intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur, Albert Flindé, a effectué, samedi 21 décembre 2020, une visite sur le site du futur port sec de Ferkessédougou en vue de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux.
Accompagné du corps préfectoral, des responsables en charge du projet et l'entreprise chinoise chargée des travaux, M. Flindé a fait le parcours du site des travaux qui est une plateforme aménagée de cinq hectares. Au terme de la visite, il a rassuré la population qui s'impatiente, sur l’effectivité de ce projet.
« Le projet du port sec de Ferkessédougou fait partie des priorités du gouvernement et je voudrais rassurer tous nos parents que tout est prêt pour le démarrage des travaux », a-t-il déclaré, affirmant que « ces travaux dureront 36 mois à compter de sa date de lancement. Je suis venu constater ce qui est fait sur le terrain. Je vais rendre compte au président de la République et au premier ministre".
Le projet du port sec de Ferkessédougou est un projet intégrateur avec le Mali et le Burkina Faso. Il est structuré autour de la construction d'un terminal d'import-export, d'un dépôt d'hydrocarbures, et d'un abattoir régional et un marché à bétail. Son coût est estimé à 254 milliards de francs CFA.
ki/kkf/ask
Accompagné du corps préfectoral, des responsables en charge du projet et l'entreprise chinoise chargée des travaux, M. Flindé a fait le parcours du site des travaux qui est une plateforme aménagée de cinq hectares. Au terme de la visite, il a rassuré la population qui s'impatiente, sur l’effectivité de ce projet.
« Le projet du port sec de Ferkessédougou fait partie des priorités du gouvernement et je voudrais rassurer tous nos parents que tout est prêt pour le démarrage des travaux », a-t-il déclaré, affirmant que « ces travaux dureront 36 mois à compter de sa date de lancement. Je suis venu constater ce qui est fait sur le terrain. Je vais rendre compte au président de la République et au premier ministre".
Le projet du port sec de Ferkessédougou est un projet intégrateur avec le Mali et le Burkina Faso. Il est structuré autour de la construction d'un terminal d'import-export, d'un dépôt d'hydrocarbures, et d'un abattoir régional et un marché à bétail. Son coût est estimé à 254 milliards de francs CFA.
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